En Ariège, un cocktail de substances chimiques tue 2 millions d’abeilles
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Auteur : | Editeur : Walt | Samedi, 12 Mai 2018 - 09h25
La disparition des abeilles suit son cours tragique. Après 3.000
ruches décimées à cause de substances chimiques en Dordogne, un
apiculteur bio de l’Ariège vient également de subir les conséquences de
ces produits. En cause notamment, le fongicide Voxan, utilisé par un
agriculteur voisin pour traiter son champ. Deux millions d’abeilles
tuées.
Les abeilles sont plus menacées que jamais par les substances chimiques. On apprenait en début de semaine, sur Franceinfo,
qu'il y aurait plus de 3.000 ruches dévastées en Dordogne liées à cause
de pesticides néonicotinoïdes. Cette fois, ce sont les 24 ruches d'un
apiculteur bio basé en Ariège, faisant partie du groupe Natur Miel, qui
ont été décimées accidentellement par le fongicide Voxan. En effet,
comme nous le raconte Nicolas Puech, l'apiculteur touché, «nos abeilles
étaient au bord d'un champ de blé où le propriétaire a pulvérisé un
fongicide du nom de Voxan, qui n'est pas nocif en lui-même pour
l'abeille. En outre, le fongicide mélangé à d'autres substances a créé
un cocktail mortel pour les abeilles. Près de deux millions d'abeilles
ont été tuées.
"On pense qu'avec toutes les molécules présentes dans le champ avec
le Voxan, cela a créé un cocktail qui premièrement attire les abeilles,
plus que les fleurs aujourd'hui et dans un deuxième temps désoriente les
abeilles et les empêchent de revenir à la ruche."
En 72 heures, l'apiculteur a constaté une baisse de 80% du nombre de
ses abeilles. Une situation dramatique pour Nicolas Puech. "Nous avions
mis en place ce rucher de 24 ruches à la demande de l'agriculteur pour
la pollinisation. Aujourd'hui, les 24 ruches sont appelées à disparaître
durant l'année." Malgré une "perte sèche d'environ 27.000 euros", une
cagnotte de soutien a d'ailleurs été lancée, Nicolas Puech ne souhaite
pas accabler l'agriculteur qui a utilisé le fongicide pour traiter son
champ.
"Nous ne souhaitons pas que l'agriculteur soit embêté, ni même créer
de polémique autour de ces produits, ce que l'on veut c'est une prise de
conscience générale au niveau des agriculteurs. Ils traitent leurs
champs, on le comprend tout à fait, car ils en ont vraiment besoin, mais
il faudrait qu'ils préviennent les apiculteurs pour que nous puissions
déplacer nos ruches."
Et d'ajouter,
"On ne demande pas que les agriculteurs changent quoi que ce soit
dans leurs méthodes de travail. Je pense que ce sont les laboratoires et
Mosanto qui doivent, eux, réfléchir en amont. Les agriculteurs
n'appliquent, malheureusement, que ce qu'on leur propose."
L'apiculteur espère surtout "un peu plus de transparence sur les
traitements des parcelles et surtout ‘une meilleure communication entre
agriculteurs et apiculteurs afin que l'on puisse, en cas de traitement,
enlever nos ruches pour ne pas qu'elles s'empoisonnent.'
L'État pourrait-il prendre des mesures afin d'interdire ces
fongicides ou pesticides et empêcher, de fait, cette disparition
programmée des abeilles? Rien n'est moins sûr comme l'explique
l'apiculteur. ‘Au niveau national malheureusement on n'attend pas
grand-chose, nous ne sommes pas des militants, nous souhaitons
simplement témoigner. En revanche, c'est au niveau européen où les
choses doivent être pensées.' Reste qu'il est encore très compliqué de
démontrer un lien de causalité entre certains produits et leurs
répercussions sur les abeilles, regrette Nicolas Puech.
‘Aujourd'hui, il n'y a aucune étude sérieuse qui a montré que le
Voxan ou un pesticide en particulier est nocif pour l'abeille, sinon il
ne serait pas mis sur le marché. Le problème est multifactoriel, parce
que l'on trouve plusieurs molécules qui sont réunies dans les champs et
c'est cet ensemble de molécules qui crée un danger pour nos abeilles.'
Pourtant, l'impact sur l'écosystème serait ‘énorme' comme le décrit
l'apiculteur. ‘Les abeilles sont pollinisatrices c'est-à-dire pas
d'abeilles, pas de fleurs, pas de fruits et l'agriculture serait plus
compliquée.' En outre, les solutions proposées par les laboratoires sont
loin d'être satisfaisantes, car elles ne répondent pas à la véritable
problématique, à savoir protéger les abeilles:
‘Des laboratoires travaillent sur des projets type drones pour la
pollinisation, ou des ruches à base de faux bourdons pour polliniser. La
solution ne se trouve pas là, il faut aujourd'hui sauver l'abeille.'
Et de conclure,
‘La catastrophe est énorme pour la nature, parce que ce sont tous les
insectes, on pense à l'abeille solitaire, le criquet, le ver de terre,
ou encore tous les insectes qui doivent vivre dans les champs, qui sont
amenés à disparaître. À long terme, c'est certain, il y aura des
conséquences.'
La vidéo ci-contre est absolument sine qua non si vous voulez
COMPRENDRE les raisons absolument non médicales et non scientifiques
sous-jacentes aux obligations vaccinales dans divers pays du monde. Loin
de l'enfumage sur la prétendue gravité énorme de la rougeole dans nos
pays, il se trouve en fait que le but de vaccination mondiale incessante
est tout autre.... Suite à cette vidéo de Maxence Layet,
assistant parlementaire de l'eurodéputée écologiste Michèle Rivasi, nous
fournissons des liens et vidéos complémentaires qui aident à poser le
décor réel de la dictature vaccinale qui, bien entendu, ne peut être
adéquatement combattue sans en connaître suffisamment les tenants et les
aboutissants.
Le virus de la rougeole comme une aubaine pour développer des tas d'autres vaccins à fourguer aux populations mondiales (cf. à partir de la 13e minute):
"Si on fait un bon travail avec les vaccins et les techniques
de procréation médicalement assistée, on pourra espérer réduire la
population mondiale de 10 à 15%", dixit Bill Gates, le prétendu philanthrope lors d'une conférence TED2010 de Longbeach en Californie, lui qui ne cesse d'annoncer les futures pandémies tant attendues et si bien préparées:
Enquête de santé : "Sommes-nous tous bipolaires ?"
Dans la vie, nous avons tous des sautes d'humeur. Mais
quand les émotions deviennent trop intenses, qu'elles génèrent des
réactions incontrôlables et des excès en tout genre, on parle alors de
troubles bipolaires, une maladie qui touche plus d'un million de
personnes en France. "Sommes-nous tous bipolaires ?", un documentaire et
un débat était à suivre mercredi 7 février sur France 5.
Par la rédaction d'Allodocteurs.fr
Rédigé le
, mis à jour le
Enquête de santé : "Sommes-nous tous bipolaires ?"
Depuis quelques années, les troubles bipolaires occupent régulièrement le devant de la scène médiatique. Benoît Poelvoorde, Catherine Zeta-Jones,
Jim Carrey... Ils seraient nombreux à souffrir de bipolarité et à le
faire savoir. Pourtant, loin d'être un phénomène de mode, il s'agit
d'une maladie psychique grave et très invalidante.
Passer de l'euphorie à la dépression en quelques jours, c'est ce qui
caractérise ces troubles autrefois appelés psychose maniaco-dépressive.
Excitation, projets démesurés, tristesse, perte du plaisir sont le lot
des patients qui doivent apprendre à gérer ces humeurs capricieuses.
Malgré ces signes, il faut plus de dix ans en moyenne pour que le
diagnostic soit posé. Une errance médicale qui peut avoir des
conséquences dramatiques. Un malade sur deux fera au moins une tentative
de suicide au cours de sa vie.
Quelles sont les causes et les manifestations des troubles bipolaires
? Existe-t-il des traitements efficaces ? Et peut-on en guérir ? À
travers des témoignages de malades, Enquête de santé lève le voile sur cette pathologie aux multiples visages.
Le documentaire "Troubles bipolaires, d'un extrême à l'autre" réalisé par Cécile Tartakovsky a été suivi d'un débat animé par Michel Cymes, Marina Carrère-d'Encausse et Benoît Thevenet.
Les médecins lancent un avertissement: si vous utilisez du papier
d’aluminium, arrêtez ou faites face à des conséquences mortelles
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Auteur : | Editeur : Walt | Lundi, 07 Mai 2018 - 14h52
Le papier d’aluminium, qui a été introduit pour la première
fois au début des années 1900, est actuellement l’un des articles de
cuisine les plus couramment utilisés. Il est extrêmement polyvalent et
est utilisé pour la cuisson, l’emballage et même pour traiter certains
problèmes de santé courants.
Cependant, le problème avec cet article de cuisine est sa nature
neurotoxique, qui affecte négativement la fonction cérébrale et on a
même constaté qu’il déclenchait l’apparition de la maladie d’Alzheimer.
Comme expliqué par un expert médical, l’exposition à ce métal peut
entraîner un déclin mental et une perte de mémoire, d’équilibre, de
contrôle corporel et de coordination.
En outre, il a été démontré scientifiquement que la cuisson avec du
papier d’aluminium affecte les os, en raison du fait que le métal
s’accumule dans les os et entraîne une perte de calcium qui est d’une
importance primordiale pour une bonne santé osseuse. On a également
constaté que la cuisson avec du papier d’aluminium provoque la fibrose
pulmonaire et d’autres problèmes respiratoires.
Lorsqu’ils sont exposés à des températures élevées par cuisson ou
grillade, les petits morceaux de métal se retrouvent dans les aliments.
Même si ces petites morceaux ne sont pas relâchés, ajouter certaines
épices ou des citrons peut provoquer une lixiviation chimique de
l’aluminium.
« Plus la température est élevée, plus la lixiviation est élevée. Le
papier d’aluminium n’est pas adapté à la cuisson et n’est pas adapté à
l’utilisation avec des légumes comme les tomates, les jus d’agrumes ou
les épices « , explique-t-il.
Plus précisément, cette étude a montré que les produits alimentaires
cuits dans des solutions acides comme la sauce tomate ou le jus de
citron ont en fait absorbé le plus d’aluminium. Comme mentionné
ci-dessus, ajouter des épices augmente encore plus la lixiviation.
D’autre part, les aliments cuits dans du sel ou de l’alcool ont absorbé
le moins d’aluminium.
Alors que l’Organisation mondiale de la santé affirme que 40 mg est
la consommation quotidienne sûre d’aluminium, cette étude réalisée par
les chercheurs de l’Université américaine de Sharjah montre que les
aliments emballés dans du papier d’aluminium pourraient contenir plus de
6 fois cette quantité. Inutile de dire que l’ingestion de ce métal dans
de telles quantités est tout sauf sûre.
Pour résumer, même si cet outil simple est économique et aide à
préparer des repas savoureux, il est extrêmement mauvais pour votre
cerveau, pour vos os, et enfin pour vos poumons. Par conséquent, si vous
souhaitez éviter les problèmes liés au cerveau, les problèmes avec vos
os et vous retrouver avec des poumons en mauvaise santé, assurez-vous
d’arrêter de cuire avec du papier d’aluminium.
La nouvelle formule du Levothyrox contiendrait des nanoparticules de métal
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Auteur : | Editeur : Walt | Vendredi, 04 Mai 2018 - 09h15
"[Dans la nouvelle formule du Levothryox], on met en évidence des
nanoparticules avec des alliages fer-chrome, chrome-nickel,
fer-chrome-silicium, ferrochrome-aluminium, alors que dans l'ancienne
formule, il y avait seulement quelques débris d'acier", s’est exprimé le
Dr Jacques Guillet lors d’une conférence de presse le 2 mai. Celui-ci a
en effet analysé la composition du médicament au profit de
l'Association française des malades de la thyroïde (AFMT).
"On inhale bien plus de nanoparticules en marchant dans les rues de Paris"
Jacques Guillet, spécialiste de médecine nucléaire, affirme avoir
observé au microscope et au spectromètre "plusieurs dizaines de
comprimés" de Levothyrox, de la nouvelle formule comme de l’ancienne.
L’AFMT a aussitôt appelé la Justice à examiner le rôle que pourraient
avoir ces nanoparticules dans les effets secondaires qu’elle associe au
traitement.
De son côté, le Dr Guillet tempère : "Il ne s'agit pas d'affoler les
gens. Des nanoparticules, on en inhale bien plus en marchant dans les
rues de Paris. Et on n'a pas mis en évidence de lien de cause à effet."
Le laboratoire Merck a quant à lui nié les faits dans un communiqué :
"Qu'il s'agisse de l'ancienne comme la nouvelle formule, nous rappelons
que l'analyse de l'ensemble des métaux lourds a été réalisée
conformément à la réglementation en vigueur, et nous réaffirmons que
tous ces contrôles se sont révélés conformes aux spécifications."
Le changement de formule opéré en 2017 serait selon de nombreux malades responsable
d'effets indésirables, comme une fatigue excessive, des maux de tête,
des vertiges ou des chutes de cheveux. En conséquence, près de 500 000 personnes ont abandonné leur traitement à
la fin de 2017, et environ 1 200 ont porté plainte contre le
laboratoire Merck, qui commercialise le Levothyrox. Les analyses du Dr
Guillet vont être transmises à la juge d'instruction de Marseille, a
annoncé Me Marie-Odile Bertella-Geffroy, avocate de l'AFMT. La juge
d'instruction enquête déjà sur des faits de tromperie aggravée, de
blessures involontaires et de mise en danger d'autrui.
Mercredi 2 mai, des malades s'estimant victimes des effets
secondaires de la nouvelle formule sont venus manifester devant
l'Assemblée nationale pour dénoncer "une crise sanitaire loin d'être
terminée".
La liste 2018 recense « 90 médicaments (dont 79 commercialisés en
France) dont la balance bénéfices-risques est défavorable dans toutes
les situations cliniques pour lesquelles ils sont autorisés en France ou
dans l’Union européenne ».
Par rapport au bilan de 2017,
7 médicaments ont été retirés : 3 parce qu’ils ont été retirés du
marché et 4 parce que de nouvelles données sont en cours d’analyse par
Prescrire (1). Cinq médicaments ont été ajoutés.
« Même en situation d’impasse thérapeutique dans une maladie grave », souligne la revue :
« Il n’est pas justifié d’exposer les patients à des risques
graves, quand l’efficacité clinique n’est pas démontrée. L’utilisation
de certains de ces médicaments dans le cadre d’une recherche clinique
peut être acceptable, mais à condition d’informer les patients des
inconnues sur la balance bénéfices-risques et d’une utilité de
l’évaluation. Dans les autres cas, mieux vaut se concentrer sur des
soins utiles pour aider le patient à supporter l’absence d’option
capable de changer le pronostic ou d’améliorer sa qualité de vie au-delà
de l’effet placebo. »
« Le plus souvent, quand un traitement médicamenteux apparaît
souhaitable, d’autres options ont une meilleure balance
bénéfices-risques que ces médicaments à écarter. »
Dans un document PDF, Prescrire précise, pour chacun de ces médicaments, les raisons de l’évaluation négative et les alternatives préférables.
Voici la liste de ces 90 « médicaments plus dangereux qu’utiles » :
Dans un document PDF, Prescrire précise, pour chacun de ces médicaments, les raisons de l’évaluation négative et les alternatives préférables.
Dans un document PDF, Prescrire précise, pour chacun de ces médicaments, les raisons de l’évaluation négative et les alternatives préférables.
Médicaments du bilan 2017 retirés du marché : ranélate de strontium
(Protelos) dans l’ostéoporose?; association dexaméthasone + salicylamide
+ salicylate d’hydroxyéthyle (Percutalgine) et catumaxomab (Removab).
Médicaments du bilan 2017 en cours de réévaluation : canagliflozine
(Invokana) et dapagliflozine (Forxiga) ainsi que omalizumab (Xolair) et
mépolizumab (Nucala).
La Terre a connu en deux ans son plus grand refroidissement depuis un siècle
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Auteur : JAMES DELINGPOLE | Editeur : Walt | Samedi, 28 Avr. 2018 - 12h29
Notre planète vient de vivre l'événement de refroidissement climatique le plus extrême en deux ans depuis un siècle. Mais où avez-vous vu cela dans les médias grand public ?
Vous ne l'avez pas vu, même si les chiffres sont assez spectaculaires. Comme le rapporte Aaron Brown ici à Real Clear Markets :
De février 2016 à février 2018 (le dernier mois disponible), les températures moyennes mondiales ont chuté de 0,56°C. Il
faut remonter à 1982-1984 pour la prochaine baisse la plus importante
sur deux ans, soit 0,47 °C, et ce, même pendant l'ère du réchauffement
planétaire. Toutes les données de cet essai proviennent de l'équipe
GISTEMP, 2018 : GISS Surface Temperature Analysis (GISTEMP). NASA
Goddard Institute for Space Studies (jeu de données consulté le
2018-04-11 à https://data.giss.nasa.gov/gistemp/). C'est la source standard utilisée dans la plupart des reportages journalistiques sur les températures moyennes mondiales.
Le « Big Chill » 2016-18 était composé de deux « Little
Chills », la plus grande baisse de cinq mois jamais enregistrée (de
février à juin 2016) et la quatrième plus grande (de février à juin
2017). Un événement similaire de février à juin 2018 ramènerait les
températures moyennes mondiales en dessous de la moyenne des années
1980. Février 2018 a été plus froid que février 1998.
Pour replacer cette baisse de température dans son contexte, il
suffit de considérer qu'elle est suffisante pour compenser plus de la
moitié du réchauffement planétaire que la planète a connu depuis la fin
du XIXe siècle.
Depuis la fin du petit âge glaciaire dans les années 1880, la planète
s'est réchauffée d'environ 0,8°C. Vous pourriez penser que ce n'est pas
un niveau de réchauffement particulièrement drastique. Vous pourriez
également noter qu'un tel taux de réchauffement est bien antérieur dans
des périodes de l'histoire, comme pendant les périodes de réchauffement
minoenne, romaine et médiévale. Néanmoins, cette hausse de 0,8°C -
0,9°C, sous l'effet d'une poussée - est le terrible événement climatique
que l'establishment alarmiste a garanti que c'est la pire chose qui
soit ces dernières décennies et que cela devrait terriblement nous
inquiéter.
Alors, ce refroidissement soudain, est-ce une chose encore pire ? Pas nécessairement. Comme
l'explique Brown dans son article, il est impossible d'extrapoler des
tendances à partir d'une échelle de temps aussi courte. Pas à moins
d'être un alarmiste climatique.... Comme nous le savons par expérience,
si cela avait été l'inverse - si la planète s'était réchauffée de 0,56°C
au lieu de s'être refroidie, les médias auraient parlé de cette
information de partout.
Ce que je veux dire, c'est que les anomalies statistiques montrant un
refroidissement n'attirent pas l'attention des médias. Les chiffres de
la température moyenne mondiale sortent tous les mois. S'ils montrent
une nouvelle année record, c'est une grosse histoire. S'ils montrent une
forte augmentation par rapport au mois précédent ou au même mois de
l'année précédente, c'est une histoire. S'ils représentent une séquence
de mois ou d'années de réchauffement, c'est aussi une histoire.
Lorsqu'ils montrent un refroidissement de quelque sorte - et il y a eu
plus de mois de refroidissement que de mois de réchauffement depuis le
début du réchauffement anthropique - il n'y a pas d'histoire.
Entre-temps, une étude de Judith Curry et Nic Lewis -
également largement non couverte par les médias grand public - confirme
ce que les sceptiques disent depuis des années : les modèles
informatiques utilisés par l'establishment alarmiste pour prédire le
réchauffement climatique sont trop orientés à la hausse.
Dans l'étude, les auteurs Nic Lewis et Judith Curry ont examiné les
relevés de température réels et les ont comparés à des modèles
informatiques du changement climatique. Ce qu'ils ont découvert, c'est
que la planète s'est montrée beaucoup moins sensible aux augmentations
de CO2 que ne le disent les modèles climatiques. Par conséquent,
disent-ils, la planète se réchauffera moins que ne le prédisent les
modèles, même si nous continuons à pomper du CO2 dans l'atmosphère.
Comme Lewis l'explique : "Nos résultats impliquent que, pour tout
scénario d'émissions futures, le réchauffement à venir est susceptible
d'être sensiblement inférieur au niveau simulé par le modèle
informatique central projeté par le (Groupe d'experts
intergouvernemental sur l'évolution du climat des Nations Unies), et
qu'il est très peu probable qu'il dépasse ce niveau.
Ainsi, le "réchauffement planétaire" anticipé, qui était
potentiellement dangereux, devient facilement gérable. C'est pourquoi,
bien sûr, il est peu probable d'avoir l'attention d'un établissement
scientifique et des médias complices qui préfèrent intensifier la peur
du réchauffement de la planète - même lorsque les preuves ne l'étayent
pas.
Si les pesticides ont initialement un rôle de protection des
cultures, ils présentent in fine, par leur migration dans les
différents milieux, des dangers pour l'homme et les écosystèmes, avec un
impact immédiat ou à long terme. La contamination des cours d'eau est
quasi-généralisée en France, essentiellement par des herbicides en
métropole et des insecticides en outre-mer.
Les secteurs aux teneurs les plus fortes correspondent aux zones de
grande culture céréalière, maraîchère ou viticole : nord de la France,
bassin parisien, Sud-Ouest, amont du Rhône, Martinique. De façon
générale, les eaux souterraines semblent moins contaminées par les
pesticides que les cours d'eau mais avec une large présence des produits
de dégradation des pesticides.
Le terme « pesticide » désigne les substances ou produits destinés à
lutter contre les organismes jugés nuisibles, qu'il s'agisse de plantes,
d'animaux, de champignons ou de bactéries.
Les pesticides sont majoritairement utilisés en agriculture ; on
parle alors de produits phytosanitaires ou phytopharmaceutiques. Ils
font également l'objet d'un usage non agricole par les gestionnaires
d'équipements ou de réseaux de transport, les collectivités locales ou
les particuliers ; on parle alors de biocides. Ils peuvent être classés
par type d'usage : herbicides, insecticides, fongicides, nématicides,
rotondicides, acaricides etc.
L'indicateur est la moyenne annuelle des concentrations totales en
pesticides par secteur hydrographique pour les cours d'eau et par
aquifère (formation géologique contenant une nappe) pour les eaux
souterraines. Les secteurs hydrographiques correspondent à un découpage
géographique par bassins versants des rivières. Les entités
hydrogéologiques correspondent à un ensemble d'aquifères regroupés par
lithologie et grand type de fonctionnement. La France compte 222
secteurs hydrographiques, dont 35 en outre-mer (Mayotte étant assimilée à
un secteur) et 222 entités hydrogéologiques dont 46 dans les DOM. Au-delà
du seuil de 5 µg/l, l'eau est réglementairement impropre à la
fabrication d'eau potable et au-delà du seuil de 0,5 µg/l, elle est
impropre à la consommation humaine.
Pertinence
La protection à long terme des ressources en eau est une condition du développement durable.
Le Parlement européen et le Conseil ont adopté en 2000 la directive
cadre sur l'eau (DCE). Cette directive a pour objectif la préservation
et la restauration des eaux et des milieux aquatiques, elle s'applique
aux eaux de surface, y compris les eaux littorales et les eaux de
transition, et aux nappes d'eau souterraine. Elle instaure une
obligation de résultat : le bon état de toutes les eaux en 2015, sauf
report de délais ou définition d'objectifs moindres dûment justifiés. Le
bon état est défini pour les eaux de surface comme un bon état chimique
et écologique, et pour les eaux souterraines un bon état chimique et
quantitatif.
Analyse
Résultats au regard de l'enjeu de développement durable
Les substances actives des pesticides et les molécules issues de leur
dégradation, appelées métabolites, sont susceptibles de se retrouver
dans les différents compartiments de l'environnement (air, sol, eaux,
sédiments, etc.) ainsi que dans les aliments. Même si elles ont
initialement un rôle de protection des cultures, elles présentent in
fine, par leur migration dans les différents milieux, des dangers plus
ou moins importants pour l'homme et les écosystèmes, avec un impact
immédiat ou à long terme.
En 2011, dans les cours d'eau, sur les 176 secteurs hydrographiques
que le réseau de surveillance permet de caractériser en France
métropolitaine, 63 présentent une concentration moyenne supérieure à 0,5 µg/l, dont
4 dépassent 2 µg/l. Certains secteurs présentent des points de mesure
aux concentrations moyennes supérieures à 5 µg/l, seuil réglementaire de
potabilisation. Ils sont situés dans les zones de grande culture :
bassin parisien, sud-ouest, nord de la France.
La contamination en pesticides n'épargne pas l'outre-mer : 7 secteurs sur les 12 caractérisés dépassent 0,5 µg/l en moyenne.
De façon générale, les eaux souterraines semblent moins contaminées
par les pesticides que les cours d'eau. En 2011, seules 4 des 176
entités hydrogéologiques métropolitaines (nappe de Beauce, nappe de la
Gâtine occidentale, nappe purbeckienne des Charentes, nappe de la
molasse dans le Vaucluse et les Alpes de Haute-Provence) présentent une
concentration totale en pesticides qui dépasse la norme de 0,5 µg/l
fixée par la DCE. En revanche, plusieurs nappes des DOM, dont 70% des nappes martiniquaises, dépassent ce seuil.
Dans 29 % des nappes françaises les concentrations totales en
pesticides atteignent ou dépassent 0,1 µg/l. 38 % montrent une
contamination faible, avec des concentrations inférieures à 0,1 µg/l, et
22 % des nappes sont sans pesticide détecté. Mais 12% des nappes n'ont
pas fait l'objet de mesure en 2011.
Étant donné les temps de transfert vers les nappes et la lenteur de
leurs écoulements, les molécules de dégradation des pesticides
(métabolites), qui ne sont pas toutes connues en 2011, y sont plus
largement retrouvées que les molécules mères.
Disparités territoriales
La contamination des cours d'eau en pesticides est quasi-généralisée
en France. Seuls 7% des points en sont exempts. Ils sont majoritairement
situés dans les régions peu agricoles ou à agriculture peu intensive :
quart sud-est, Auvergne.
A l'inverse, les régions céréalières, de maïsiculture ou de
viticulture, notamment dans le bassin parisien, en Adour-Garonne et le
long du Rhône, ou à tradition maraîchère, comme en Martinique et
Guadeloupe présentent les plus fortes concentrations en pesticides.
Cette contamination est souvent le fait d'un grand nombre de
pesticides : plus de 20 pesticides différents ont été décelés sur 18%
des points de mesure. Elle est également liée aux types de cultures
pratiquées et aux conditions climatiques : essentiellement des
insecticides en Outre-mer et des herbicides en France métropolitaine.
En 2011, les contaminations des nappes phréatiques par les pesticides
sont essentiellement localisées, pour les plus fortes, en région
Centre, dans les Charentes, le Vaucluse, les Alpes de Haute-Provence, en
Martinique, ainsi qu'au Sud de la Guyane et de Basse Terre en
Guadeloupe, avec des concentrations totales de pesticides dépassant 0,5
µg/l (norme de qualité DCE). Au nord de l'Hexagone, en nord Bretagne,
dans le couloir rhodanien et le Sud-Ouest, les concentrations totales en
pesticides des nappes sont fréquemment supérieures à 0,1 µg/l.
Les nappes sous couverture argileuse (en Aquitaine et à l'est du
bassin parisien) et les nappes de montagne, est et sud du Massif
Central, Pyrénées, Alpes, sont les plus préservées puisqu'aucun
pesticide n'y est détecté. Le reste du territoire, montre une
contamination généralisée des nappes, même si elle reste majoritairement
faible, avec des concentrations inférieures à 0,1 µg/l, respectant les
normes de qualité DCE.
Le représentant russe auprès de l’Organisation pour l'interdiction
des armes chimiques (OIAC) a qualifié lundi de «provocation flagrante»
la présumée attaque chimique du 7 avril à Douma. De telles provocations
sont lourdes de conséquences. Voici d’autres «incidents» qui ont
provoqué des guerres dans le passé.
La présumée attaque chimique perpétrée le 7 avril à Douma, une banlieue de Damas, est une «provocation flagrante»
qu'on utilise pour justifier une agression contre un État souverain, a
déclaré lundi Alexandre Choulguine, représentant de la Russie auprès de
l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) lors d'une conférence de presse.
En effet, les États-Unis, la France et le Royaume-Uni, qui accusent l'armée syrienne d'avoir employé des armes chimiques à Douma ont
tiré plus de 100 missiles contre la Syrie le 14 avril. Trois personnes
ont été blessées. La frappe a eu lieu avant même l'arrivée à Douma d'une
mission d'enquête de l'OIAC.
Rappelons que les spécialistes du Centre russe pour la réconciliation
des parties en conflit en Syrie se sont rendus sur les lieux de
l'attaque présumée avant la frappe occidentale, sans pour autant trouver
des traces d'agents toxiques. Les hôpitaux locaux n'ont accueilli aucun
patient souffrant d'intoxication.
Voici quelques exemples d'autres provocations utilisées par le passé à
des fins politiques et dont certaines ont même entraîné des conflits
militaires d'envergure.
Incendie du Reichstag
Les pompiers luttent contre les flammes au palais du Reichstag, à Berlin (archive photo)
Le 28 février 1933, un incendie a ravagé le palais du Reichstag,
siège du parlement allemand à Berlin. La police, qui s’est rendue sur
les lieux, a arrêté un jeune chômeur d'origine hollandaise, Marinus van
der Lubbe, qui se disait communiste.
Les autorités nazies ont utilisé l’incendie du Reichstag à
des fins politiques, le présentant comme un coup des communistes
allemands. Elles ont suspendu sine die les libertés individuelles et
lancé une campagne de répression dirigée contre les communistes.
Il existe plusieurs hypothèses, du complot nazi à l’acte isolé. Une
enquête a, plus tard, établi qu’il y aurait eu plusieurs départs
d’incendie dans le bâtiment au moment de l’arrivée du communiste
hollandais. L’historien français Jacques Delarue a
notamment estimé que l'incendie avait été perpétré par un commando de
la SA, dirigé par Karl Ernst et Edmund Heines, à l'initiative d'Hermann
Göring.
Le 5 février 2003, le secrétaire d'État américain Colin Powell brandissait à l'Onu une fiole censée contenir de l’anthrax.
Selon les États-Unis, la présentation d’une fiole avec de la poudre
blanche devait prouver que l’Irak gouverné à l’époque par Saddam Hussein
cachait des armes de destruction massive.
Les membres du Conseil de sécurité de l’Onu ont toutefois refusé de donner leur feu vert à une intervention militaire en Irak. Mais un mois et demi plus tard, l’opération américano-britannique a
commencé en Irak. Les cinq divisions de ces deux pays n’ont pas
rencontré beaucoup de résistance de la part des 23 divisions irakiennes.
Pendant l’opération, 9.200 militaires et 7.300 civils irakiens ont été
tués. Aucune preuve d’existence d’armes biologiques, chimiques ou
nucléaires en Irak n’a jamais été trouvée.
Un an après le début de la guerre en Irak, M.Powell a reconnu qu’on
l’avait induit en erreur et que les données publiées étaient imprécises
ou falsifiées.
Incident de Moukden
Incident de Moukden (ou incident de Mandchourie)
L’incident de Moukden (aujourd’hui Shenyang) a marqué le début de la Seconde guerre mondiale en Asie.
Les soldats de l’armée japonaise du Guandong ont posé une bombe sur
une voie ferrée, appartenant à la société japonaise Chemins de fer de
Mandchourie du Sud, à la sortie de Moukden, dans la nuit du 18 au 19
septembre 1931. Le Japon a ensuite accusé la Chine d’être derrière cette attaque, justifiant ainsi son entrée en Mandchourie. L’occupation japonaise de la Mandchourie a duré jusqu’au 15 août 1945.
Une vedette vietnamienne cherche à éviter le feu du navire USS Maddox (2 août 1964)
Les incidents du Tonkin des 2 et 4 août 1964 ont déclenché la guerre du Vietnam.
Selon la version officielle, des vedettes vietnamiennes ont attaqué
le destroyer américain USS Maddox le 2 août 1964 alors qu'il se trouvait
dans le Golfe du Tonkin, dans les eaux internationales. D’ailleurs, des
historiens estiment que l’USS Maddox était entré exprès dans les eaux
territoriales du Vietnam. Des chasseurs F-8 Crusader sont venus en aide à
l’USS Maddox. Les vedettes vietnamiennes ont été endommagées.
Suite à cet incident, le Président Lyndon Johnson a ordonné à un
autre destroyer, l'USS C.Turner Joy, de se porter au soutien du Maddox.
La nuit du 4 août, alors qu'ils font route vers le golfe du Tonkin, ils
se croient attaqués par des torpilles pendant une tempête et ripostent
avec un feu nourri. Les avions envoyé d’urgence dans le secteur n’ont
découvert aucun navire ennemi, mais Washington avait déjà été informé de
la prétendue «agression». Selon des documents déclassifiés par la NSA en 2005, des doutes concernant «l’attaque du Tonkin» avaient été émis dès le début de l’enquête.
L’incident a entraîné un vote au Congrès américain qui a autorisé le 7
août 1964 le président Johnson à déclencher une opération militaire au
Vietnam s’il l’estimait nécessaire. Les États-Unis ont envoyé plus de 200.000 soldats au Vietnam en 1965 et
200.000 autres en 1966. Début 1968, ils étaient plus de 500.000,
d’après l’ouvrage Une histoire populaire de l'Amérique de Howard Zinn.
La guerre a duré dix ans.
Explosion du cuirassé Maine
USS Maine (archives photo)
Le 15 février 1898 explosait le cuirassé américain Maine en rade de La Havane. Deux tiers des membres d’équipage (plus de 260 hommes) ont été tués. Les États-Unis ont accusé l’Espagne,
qui contrôlait Cuba, d’avoir coulé le navire. De nombreux journaux ont
présenté la culpabilité de l’Espagne comme un fait établi malgré
l’absence de preuves.
Le 19 avril, le Congrès américain a adopté une résolution appelant
l’Espagne à quitter Cuba. Le 22 avril, l’escadre américaine a ouvert le
feu contre La Havane et le 3 juillet 1898, l’Espagne a été défaite dans cette guerre.
Les deux pays ont signé un traité de paix privant l’Espagne de toutes
ses colonies en Asie et en Amérique latine (Philippines, Guam,
Porto-Rico et Cuba). Trois anciennes colonies espagnoles sont passées aux États-Unis.
En 1976, l’amiral de la Marine américaine Hyman Rickover a déclaré, après une nouvelle enquête, que le naufrage du Maine aurait pu être provoqué par un incendie dans les soutes à charbon, ce qui était un vrai problème pour les navires de l’époque.
L’incident de Mainila, qui a été suivi par une guerre entre l’URSS et la Finlande (1939-1940),
a eu lieu le 26 novembre 1939. Ce jour-là, le gouvernement soviétique a
envoyé une note à Helsinki protestant contre sept tirs d’artillerie qui
auraient fait quatre morts et neuf blessés parmi les militaires du 68e
régiment soviétique vers 16h00.
L’URSS a appelé la Finlande à retirer ses troupes à 20-25 km de la
frontière. Helsinki a pour sa part souhaité que les troupes soviétiques
se retirent également à la même distance. L’URSS a refusé de le faire,
puisque cela signifierait retirer ses forces jusqu’à Leningrad (auj.
Saint-Pétersbourg). Les militaires soviétiques ont reçu l’ordre de
riposter à toute attaque à la frontière. Le 8 novembre, l’URSS a rompu
le pacte de non-agression conclu avec la Finlande et quatre jours plus
tard, la guerre d'Hiver a éclaté.
Les historiens soviétiques n’ont jamais douté que l’incident avait
commencé par une attaque finlandaise, alors que d’après d’autres pays,
ce serait une provocation destinée à créer un prétexte formel pour
attaquer la Finlande. Après l’effondrement de l’URSS, d’autres
hypothèses ont surgi en Russie. Des historiens ont notamment supposé que
le 68e régiment aurait été attaqué par une unité de la NKVD, d’autres
estiment qu’il n’y a pas eu de tirs le 26 novembre 1936 et que personne
n’a été tué ni blessé. Pour l’instant, aucune hypothèse n’a été
confirmée.
Affaire de Gleiwitz
Tour radio de Gliwice
La provocation organisée par les nazis à Gleiwitz (aujourd'hui
Gliwice, en Pologne, à la frontière tchèque) en 1939 est connue pour
avoir déclenché la Seconde guerre mondiale.
Dans la nuit du 31 août au 1er septembre, six soldats allemands,
accompagnés de douze criminels à qui on avait promis la liberté, tous
revêtus d'uniformes polonais, se sont emparés de l’émetteur radio de
Gleiwitz. Cela ressort des aveux faits par Alfred Naujocks, membre
allemand du Parti national-socialiste des travailleurs allemands et le
Sturmbannführer-SS, au procès de Nuremberg en 1945.
La fausse attaque baptisée opération Himmler avait pour fonction de
légitimer le déclenchement de l'offensive de l’Allemagne nazie contre la
Pologne.
Les assaillants ont diffusé un message appelant la minorité polonaise
de Silésie à prendre les armes pour renverser le chancelier Adolf Hitler.
Le message n’a été diffusé que localement, mais cela n’a pas empêché de
réaliser la suite du plan, notamment l'exécution de criminels
représentant les cadavres des pseudo-attaquants polonais. Des
journalistes ont été convoqués pour témoigner de l’«attaque polonaise».
L'armée nazie a attaqué la Pologne le 1er septembre 1939, déclenchant
ainsi la Seconde guerre mondiale. L’offensive allemande a entraîné
l'entrée en guerre de la France, le 3 septembre et de la
Grande-Bretagne, le 4 septembre.
Grand incendie de Rome
Néron sur les ruines de Rome, par Carl Theodor von Piloty
L’incendie qui a frappé Rome,
l’une des plus grandes métropoles de l’Antiquité, le 18 juillet 64
(av.J.C.), a sévi pendant six jours et sept nuits en se propageant
pratiquement dans toute la ville. Il a complètement détruit trois des
quatorze quartiers qui constituaient la ville et ont porté des dommages
importants à sept autres. Les morts se comptèrent par milliers.
L’empereur Néron a ensuite pris des mesures pour reconstruire la ville, mais cela n’a pas pu faire taire les rumeurs sur la culpabilité de l'empereur concernant
l'incendie. Pour cette raison, Néron aurait accusé les chrétiens,
d’après l’historien romain Tacite. Dans ses Annales, Tacite met l’accent
sur le fait que les persécutions des chrétiens ont eu lieu à la suite
de l’incendie.
Ce récit a fortement marqué la tradition chrétienne, qui y associera
par la suite la mort des apôtres Pierre et Paul. L’érudit romain Suétone
(vers 121) a mentionné cette persécution au milieu d’une liste de
mesures prises par Néron. L'authenticité des passages de Tacite et de
Suétone a parfois été contestée, mais personne ne doute que les
chrétiens ont été persécutés.
Toute ressemblance des provocations historiques avec des événements
actuels ne serait pas fortuite. De même que le grand incendie de Rome a
entraîné des atrocités contre des populations civiles, n’importe quelle
provocation d’envergure risque toujours d’entraîner des violences et
même une guerre. Espérons qu’aucun pays moderne ne fera payer ce prix à
l’humanité au nom de ses intérêts nationaux.
well vous commencé à comprendre un peu de vinaigre et ce qu'il faut
pour allé au toilette wow je pense que cela fonctionne l'effet
placébo...
... Attention à votre santé et seulement sur Facebook facile avec tous ses bugs de plagier et de vous transférer dans des
groupes secrets et vous ne le savez pas ou bien vous êtes négligent avec vos acceptations d'amis qui vous transfère d'un
groupe à l'autre qui comme par hasard devenez patient ,soigné et guérit avec 100% de réussite peut importe ce que vous
avez cancer, alzheimer nommé les toutes les maladies incurable il est aussi bio chimiste avec 8,000 recettes la
différence lui enlève selon ses dires les éléments nocifs et toxiques qui sont dans les médicaments ce que tous
les scientifiques et médecins ne font pas etc ...
Parce que
vous êtes amis Facebookavec
Paul Guérin automatiquement vous êtes transféré dansun groupe Québec Officinalis ensuite dans un
groupesecretApothicaire Québec Officinalis sans votre permission
et maintenant Labo-Tanica Apothicaire.
Une autre de ses déclarations ( à 10:10 Puisque plus de 70%
des 6600 personnes que j'ai aidé à se refaire une Santé sont des
professionnel(les) de la Santé, il me semble que le ''Soigneur-des-soigneurs''
devra leur montrer à travailler au-delà du soulagement momentané.)
Wow 6,600 professionnel(les) malades dont leur diplôme et études ne sert à rien qui se font soigné
par un sans diplôme.
Ses amis(e) professionnels une amende vous attends..Wake up
Les pesticides utilisés pour l'agriculture conventionnelle
se déclinent notamment en fongicides qui cibleraient uniquement les
moisissures, selon leurs fabricants. Une nouvelle étude montre en fait
qu'ils sont également toxiques pour les humains...
Développés depuis 1966, les SDHI (inhibiteurs
de la succinate déshydrogénase), sont des fongicides qui visent à
bloquer l'activité de l'enzyme succinate déshydrogénase qui joue un rôle
clé dans la respiration cellulaire. Autrement dit, les SDHI bloquent la
respiration des moisissures, ce qui entraîne leur mort... Plusieurs
fongicides sont disponibles sur le marché, citons notamment :
Flutalonil, Trifluzamide, Boscalid, Fluopyram, Furamethpyr, Isopyrazam,
Sedaxane, Bixafen, Penthiopyrad, Fluxapyroxad, Penflufen...
Ces
pesticides à large spectre peuvent être directement incorporés sur les
semences ou pulvérisés de manière préventive ou curative sur les plantes
cultivées.
Ils sont couramment utilisés pour lutter contre les champignons qui
affectent les cultures céréalières, mais aussi les pommes de terre, les
tomates, les agrumes et le raisin. Ainsi, en France, plus de 70 % des
surfaces en blé sont traitées avec ces produits chimiques. Des produits
alimentaires et chimiques que nous ingérons ensuite...
Les fabricants de ces produits assurent que ces fongicides inhibent
spécifiquement l'activité de cette enzyme dans les moisissures.
Cependant, des scientifiques français à l'origine d'une publication scientifique et d'une tribune dans Libération sonnent l'alarme : ces fongicides SDHI bloquent également l'enzyme humaine. Pierre Rustin,
généticien et directeur de recherches au CNRS - Inserm, explique dans
Libération : ces fongicides "bloquent bien la SDH humaine, nous l'avons
testé en laboratoire. Or, nous savons qu'il est extrêmement dangereux de bloquer cette enzyme."
En effet, selon les chercheurs ils "peuvent entraîner la mort des
cellules en causant de graves encéphalopathies, ou au contraire une
prolifération incontrôlée des cellules et se trouver à l'origine de
cancers" (reins, système digestif...)
C'est pourquoi, les auteurs de la tribune demandent d'en "suspendre
l'utilisation tant qu'une estimation des dangers et des risques n'aura
pas été réalisée par des organismes publics indépendants des industriels
distribuant ces composés et des agences ayant précédemment donné les
autorisations de mise sur le marché des SDHI".
"A la lumière de cette alerte scientifique Générations Futures
demande à l'ANSES le réexamen en urgence de l'évaluation de ces
fongicides SDHI ainsi qu'une suspension immédiate de leurs
autorisations." Déclare François Veillerette, Directeur de
l'association Générations Futures.
En outre, les SDHI sont moins efficaces qu'auparavant avec l'apparition de champignons résistants.
L'Anses se mobilise pour évaluer l'alerte
Quelques jours après cette alerte, l’Anses vient de communiquer sur
la mise en place d'un groupe d'experts dédié "afin de prendre en compte
l’ensemble des données scientifiques disponibles sur ce sujet et
notamment examiner sans délai les éléments évoqués par les scientifiques
lanceurs d’alerte (...) Ce travail aura notamment pour objectif
d’évaluer si des éléments nouveaux doivent être portés au niveau
européen et, si nécessaire, de prendre toute mesure de gestion des
risques qui apparaitrait appropriée".
Comment éviter au maximum l'ingestion de ces dangereux pesticides ?
Vu qu'il est illusoire d'attendre des décisions politiques rapides et
responsables sur ce sujet, le meilleur moyen reste de privilégier les
fruits et légumes issus de l'Agriculture Biologique.
Ce livre révèle les arcanes de l’industrie nucléaire, dévoile les
mensonges d’EDF et l’état catastrophique des centrales nucléaires
françaises. Par des faits concrets et précis, s’appuyant sur des
documents internes d’EDF qui n’ont encore jamais été dévoilés, l’auteur,
qui écrit sous le pseudonyme de Nozomi Shihiro démontre ainsi que la
transparence psalmodiée à l’envi par l’électricien national n’est en
réalité que poudre aux yeux. Et il est bien placé pour le savoir ! Issu
du cœur de la machine EDF, ayant une longue expérience du milieu, il
nous livre ses secrets.
Vous avez dit confinement ?
L’ouvrage se centre dans un premier temps sur les différentes
barrières de sûreté censées prévenir les fuites radioactives dans
l’environnement, présentées par les industriels du nucléaire et par
l’Autorité de sûreté nucléaire comme des remparts inébranlables.
L’auteur démontre qu’elles ont toutes des défauts d’étanchéité. Alors
qu’elles sont censées présenter des garanties absolues de sûreté et
faire l’objet du savoir-faire et du contrôle des professionnels de
l’atome pour prévenir tout rejet imprévu de radioactivité dans
l’environnement, les centrales nucléaires sont en réalité de véritables
passoires.
Crayons de combustible qui éclatent et contaminent toute
l’installation, fuites du circuit primaire, mauvaise qualité du béton
des enceintes de confinement qui sont enduites de résine pour passer les
tests décennaux d’étanchéité, tubes des générateurs de vapeur qui se
fissurent à force de corrosion, usure et corps étrangers provoquant
alors des fuites d’eau contaminée vers les circuits secondaires (censés
être « propres »), l’auteur dresse, preuves à l’appui, une liste
ahurissante des défaillances techniques qui sont le lot quotidien du
fonctionnement des centrales mais qui sont occultées au public.
En mettant en parallèle les communications d’EDF vers le public, les
avis techniques de l’ASN et les rapports internes de l’exploitant pour
un même événement, l’auteur met en évidence le déficit criant de
transparence et l’absence de réelle information des populations sur ce
qui se passe au cœur de nos centrales. Ce qui va être présenté comme un
simple "dégagement de vapeur" sans conséquence pour l’environnement
cache en réalité une fuite de 150 m3 d’eau contaminée. Un simple
exemple, mais édifiant, des stratagèmes et des manipulations que
l’exploitant nucléaire utilise parmi tant d’autres.
Des risques d’accidents majeurs
Sont ensuite abordés les risques d’accident majeur, avec fusion du
cœur du réacteur. Guidé par la sincérité et une intégrité dans
l’analyse, refaisant les calculs en se basant sur des notes d’études non
publiques, l’auteur présente une vision bien moins rassurante que celle
portée par les discours officiels.
Dépassés par la complexité des phénomènes, la
multitude des variables en interaction à prendre en compte et les
incertitudes inhérentes à chaque évaluation, les scénarios retenus par
les ingénieurs d’EDF sont basés sur des données d’analyse «
soigneusement » sélectionnées.
C’est ainsi que les risques de contamination sont sous-évalués et les
conséquences des catastrophes minimisées. Dès lors que les scénarios
présentés ne sont ni réalistes ni exhaustifs, les plans prévus pour
protéger les populations et l’environnement basés sur ces projections
sont tout bonnement inefficaces et vains.
Mécanismes de déni, communication fallacieuse, rejets de
radioactivité masqués : ce livre apporte la preuve des subterfuges mis
en place par EDF pour minimiser les risques d’accident et l’ampleur du
risque de contamination. Il démontre qu’opacité et culte du secret
règnent en maître dans une industrie nucléaire moribonde, et sont les
clés de sa survie. Cet ouvrage clair et compréhensible permet de
dévoiler au grand jour la réalité qu’on veut nous cacher et ouvre sur
des pistes pour Sortir du nucléaire… avant la catastrophe !
Les différents gouvernements qui sévissent depuis des dizaines
d'années sont parfaitement au courant de l'état désastreux de nos
centrales nucléaires et des risques majeurs qu'elles font courir aux
populations désinformées.
La farce cachée du nucléaire Yasnost’Editions, Réseau "Sortir du nucléaire" 250 pages, format A4, mars 2017
Leur découverte pourrait contribuer à résoudre le problème mondial
lié à ce type de pollution. Des chercheurs américains et britanniques
ont conçu par hasard une enzyme capable de détruire du plastique, selon
une étude publiée lundi 16 avril dans les Comptes-rendus de l'académie
américaine des sciences (PNAS, en anglais).
Plus de huit millions de tonnes de plastique aboutissent dans les
océans de la planète chaque année, faisant croître les inquiétudes sur
la toxicité de ce dérivé du pétrole et sur son impact sur la santé des
générations futures et de l'environnement. Malgré des efforts en matière
de recyclage, la grande majorité de ces plastiques peut perdurer
pendant des centaines d'années. Les scientifiques cherchent un moyen de
mieux les éliminer.
Une enzyme "encore plus efficace pour désagréger les plastiques" conçue "par accident"
Des scientifiques de l'université britannique de Portsmouth et du
laboratoire national des énergies renouvelables du ministère de
l'Energie américain ont concentré leurs efforts sur une bactérie
découverte au Japon il y a quelques années : l'Ideonella
sakaiensis. Elle se nourrit uniquement d'un type de plastique, le
polytéréphtalate d'éthylène (PET) qui entre dans la composition de très
nombreuses bouteilles en plastique.
Les chercheurs japonais pensent que cette bactérie a évolué assez
récemment dans un centre de recyclage, car les plastiques n'ont été
inventés que dans les années 1940. L'objectif de l'équipe
américano-britannique était de comprendre le fonctionnement de l'une de
ses enzymes appelée PETase, en découvrant sa structure. "Mais ils ont
été un peu plus loin en concevant par accident une enzyme qui est encore
plus efficace pour désagréger les plastiques PET", selon les
conclusions de l'étude.
Une marge pour "nous rapprocher encore d'une solution de recyclage"
Des scientifiques de l'université de South Florida et de l'université
brésilienne Campinas ont également participé aux expérimentations qui
ont débouché sur la mutation par hasard d'une enzyme beaucoup plus
efficace que la PETase naturelle. Les scientifiques s'activent désormais
à en améliorer les performances dans l'espoir de pouvoir un jour
l'utiliser dans un processus industriel de destruction des plastiques.
La chance joue souvent un rôle important
dans la recherche scientifique fondamentale et notre découverte n'y fait
pas exception.John McGeehan, professeur à l'école de sciences
biologiques à Portsmouth
"Bien que l'avancée soit modeste, cette découverte inattendue suggère
qu'il y a de la marge pour améliorer davantage ces enzymes, pour nous
rapprocher encore d'une solution de recyclage pour la montagne en
constante croissance de plastique mis au rebut", ajoute John McGeehan.
J’ai reçu un avertissement d’un inspecteur Canadien et je serais mis à
l’amende si je fais de la publicité pour ce Paul Guérin.L’amende minimale est de 2,500.00$
Vous serez peut-être le prochain sur Facebook !!!
Contactez l’inspecteur Marc Legeault au 1-514-933-4441 il est spécialisé,
entre autres, pour coincer ceux jouent au
docteur.
Comment
nommerait-on quelqu’un qui
Qui donne un
faux CV,qui ment, qui plagie(copier coller) vos ouvrages, qui prétends vous soigner,vous
guérir et vous sauver en ayant aucun diplôme? Du moins c’est ce qu’il semble
car si on lui demande quelles études il a fait, il esquive la réponse en prétendant
être parent (sans preuve) avec un fameux Camille Guérin en guise de diplôme. Lui dit
que Camille Guérin est son grand-père et sa complice dit arrière grand-père. (Probablement
car ils ont le même patronyme...)
Et si on se
prétend biochimiste et affirme pouvoir faire tous les médicaments ( 8,000
recettes selon ses dires) comment nomme-t-on cette personne?.
Super!Lui dis-jeMoi j’ai besoin de l’injection pour la maladie Duputryn?Ok pas de problème me répond-t-il mais par
contre ‘’je fabrique naturel et j’ enlève tous les éléments nocifs et
toxiques qui sont dans les médicaments car je suis bio-chimistes, seulement
150$ casch, vous devez payé d’avance,ou venez me rencontrer.’’
Well acheté COD vous ne recevrai rien ou du vinaigre avec une substance
qui vous fera chier , ce qui vous donneras une belle illusion !!!
Parce que
vous êtes amis Facebookavec
Paul Guérin automatiquement vous êtes transféré dansun groupe Québec Officinalis ensuite dans un
groupesecretApothicaire Québec Officinalis sans votre permission
et maintenant Labo-Tanica Apothicaire.
3e fois cette année qu’il change de nom.On pourrait se demander avec raison de quelle
autorité professionnelle on se cache ou on se sauve? Maintenant c’est sa
complice qui réponds à vos courriels, mais elle non plus ne donne aucune
réponse claire aux questions posées sur les diplômes et qualifications requises
dans sa pratique. Contrairement à vous
détenteurs d’un vrai diplôme d’un ordre professionnel qui êtes fiers de l’afficher
dans votre bureau. Et aussi de fournir sur demande la nomenclature de vos
produits pour en prouver la véracité de vos produits testés et approuvés en
laboratoire par une tierce partie.
Changement de nom
effectué avec la complicité de Facebook (et de ses bogues). Vous ne le savez même
pas ou n’y faites pas attention car sans le savoir, vous êtes maintenant un
membre et un patient qui a été guéri.. 100% de guérison obtenues par ce Paul
Guérin dans le groupe Labo-Tanica apothicaire dont vous faites partie et cela
peut-être malgré vous?
Exemples de réponses à vos simples questions : Diplôme , preuve
parenté , enregistrement.
Si vous
restez amis avec Paul Guérin vous serez complice et votre crédibilité professionnelle
en prendra un coup .
Ne demandez pas à un fraudeur s’il est fraudeur?
Félicitations!
Maintenant vous êtes un patient et un membre guéri de Labo-Tanica apothicaire. .. J’ai un slogan à lui proposer tant
qu’à se servir du nom de Guérin...: Guérin guérit !!!
Extraits tirés de sa page Facebook (celle qui change toujours de
nom...)
Helga
Lem( Faux nom ) · Hier
à 09:29 :Quelle déception que de constater que certains d'entre vous
ont besoin une confirmation de notre part que ces mensonges sont
Administrateur(trice)
· 27
mars, à 16:39: Étonnant, à chaque fois, de voir ces gens
irréfléchis qui demandent si ce charabia de sottises à mon sujet dans le
cimetière Internet est vrai...
Wow, pauvre Paul que je me dis. Tu n’as pas de contrôle sur le net
contrairement à Facebook ou tu choisis ce qui est publié comme par hasard par
la même clique d’endormis qui prennent ta parole pour parole d’évangileBizare on en revient encore à la notion de
gourou...
Encore des menaces? Depuis quand la vérité est un crime? Je demande
seulement qu’on réponde à mes simple
questionset là on me dit « je comprends
que cela peut t’éclater en pleine figure » ...
Well. Encore une fois je n’ai
aucune réponse concrète. Essayez, demandez et vous constaterez vous-mêmes. Et
si vous obtenez une vraie preuve de ses dires SVP SVP SVP j’aimerais bien la
voir aussi
SVP, considérez, quand vous écrivez, si la
réponse n'est pas immédiate, que ce Forum est consulté par plus de 11 millions
de personnes.
Lol belle réponse! Plus occupé que Donald Trump le
monsieur....
Une autre de ses déclarations (6 décembre, à 10:10 Puisque
plus de 70% des 6600 personnes que j'ai aidé à se refaire une Santé sont des
professionnel(les) de la Santé, il me semble que le ''Soigneur-des-soigneurs''
devra leur montrer à travailler au-delà du soulagement momentané.)
Naturopathe,pharmacien,parapharmacie,
thérapeutes, sophrologique,Praticienneénergéticienne,médecine chinoise tout ce qui regarde
produits natureletc Il se vante 100% de réussite de vous avoir
guérit Danger : jouer avec la santé des gens;et votre réputation
Votre dernière chance de ne pas être complice ? Si vous tenez à votre
crédibilité,bloquez-le ou désabonnez-vous de sa page Facebook maintenant. Vous risquez de vrais problèmes car, l’inspecteur
Legeault enquête et épluche son Facebook afin de sanctionner les fautifs. Après moi ce sera peut être vous le prochain?
Comment les enfants vaccinés infectent les non-vaccinés
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Auteur : Sayer Ji | Editeur : Walt | Jeudi, 12 Avr. 2018 - 09h50
Bien que des milliers d'articles de la presse officielle continuent
de blâmer les non-vaccinés pour des épidémies qui peuvent se produire,
le présent article fournira un contrepoids nécessaire en montrant que
les vaccinés peuvent infecter les non- vaccinés (et le font)...
« En effet, la transmission de ces deux vaccins antirotavirus ou
souches de réassortiment du vaccin à des contacts non-vaccinés a été
détectée [9-13] [1], même en l'absence de symptômes ».
Une des cinq études référencées ci-dessus confirme que le vaccin peut infecter des personnes non vaccinées, « La transmission du virus du vaccin antirotavirus (Rota Teq) associée à la gastro-entérite à rotavirus ».
Cette étude, publiée en 2009, est le premier rapport publié dans la
littérature qui a pu identifier la transmission du virus dérivé du
vaccin antirotavirus à des contacts non vaccinés, entraînant une
gastro-entérite à rotavirus symptomatique nécessitant des soins médicaux
d'urgence :
« Nous documentons ici la transmission du rotavirus d'origine
vaccinale (RotaTeq [Merck et Co, Whitehouse Station, NJ]) d'un
nourrisson vacciné à un frère plus âgé non vacciné qui a fait une
gastro-entérite à rotavirus symptomatique nécessitant des soins
urgents».
L'étude a également indiqué que deux des cinq souches de rotavirus du Rotateq se
sont réassorties pour produire un virus plus dangereux, soit chez le
nourrisson vacciné, soit chez le frère non vacciné infecté par la suite :
« Les résultats de notre étude suggèrent que le réassortiment entre
les souches vaccinales des génotypes P7 [5], G1 et PIA [8] G6 est
survenu pendant la réplication chez le nourrisson vacciné ou chez le
frère plus âgé. Ce fait pourrait être de nature à augmenter la virulence
du virus dérivé du vaccin».
Ce phénomène de réassortiment des souches du vaccin Rotateq et
d'infection subséquente à la gastro-entérite chez les receveurs du
vaccin a également été observé au cours d'une étude menée en 2012 chez
61 nourrissons [2] - Une étude nicaraguayenne publiée en 2012 a révélé
que l'utilisation généralisée du vaccin RotaTeq a conduit à
l'introduction de gènes vaccinaux dans les rotavirus humains en
circulation », révélant ainsi que l'introduction généralisée de
la souche vaccinale a modifié la composition génétique du rotavirus
sauvage qui infecte désormais les populations exposées [3].
Il a été estimé qu'entre 80 et 100% des nourrissons excrétaient le
rotavirus à un moment ou à un autre pendant les 25 à 28 jours suivant la
vaccination [4], [5]. Ceci révèle que les vaccinés, contrairement aux
hypothèses répandues sur les risques représentés par les non-vaccinés,
présentent, en fait, un risque clair d'infection des non-vaccinés, et
peuvent produire les conditions virologiques idéales pour la
recombinaison de diverses souches de rotavirus, en « super virus »
résistants aux vaccins.
« En 2010, un rapport de cas a été publié dans Pediatrics, décrivant
le cas d'un garçon en bonne santé, âgé de 30 mois et qui n'avait jamais
reçu de vaccin antirotavirus. Ce petit garçon ayant été infecté par le
vaccin rotavirus se retrouva aux urgences avec une gastro-entérite
sévère 10 jours après que son frère de deux mois, en parfaite santé, eut
reçu une dose du vaccin RotaTeq de Merck. Un échantillon des selles a
été prélevé dans la salle des urgences et est revenu positif pour les
souches dérivées du vaccin RotaTeq (Test RT-PCR.) »
Les auteurs de ce rapport de cas ont noté que la transmission des
souches RotaTeq à des contacts non vaccinés n'a pas été évaluée au cours
des essais cliniques pivots [avant l'homologation] ». Ils ont ajouté
que les vaccins Rotateq et Rotarix (GlaxoSmithKline Biologicals) sont
tous les deux susceptibles de transmission à des contacts.
Apparemment et historiquement incapable d'auto-critique, malgré ses
conflits d'intérêts flagrants, Offit se positionne régulièrement comme
un expert des vaccins. Il gagne personnellement à présenter son produit,
ainsi que l'ensemble des vaccins recommandés par le CDC comme sûrs et
efficaces. Un exemple : dans une entrevue notoire avec les représentants
du magazine Parenting, il a affirmé qu'un enfant pouvait recevoir
simultanément jusqu'à 10.000 vaccins sans dommage(dans
une précédente interview qu'il a corrigée dans la suite, il suggéré
qu'un enfant pouvait recevoir jusqu'à 100.000 vaccins.
Un article publié dans Age of Autism résume l'histoire douteuse d'Offit :
- Paul Offit, détenteur du brevet de vaccin contre le rotavirus pour
Merck, a été nommé au Comité consultatif sur les pratiques
d'immunisation, Dieu seul sait pourquoi.
- Il a voté pour ajouter le vaccin contre le rotavirus à l'annexe (ce
n'était pas celui de Merck, parce que son vaccin n'était pas encore
prêt à être commercialisé).
- Ce vaccin contre le rotavirus a provoqué des séquelles chez un
groupe d'enfants et a été retiré du marché, mais Offit s'est abstenu de
recommander son retrait.
- Quelques années plus tard, le rotavirus a été ajouté de nouveau au programme, avec le vaccin d'Offit en tête de liste.
- Offit a réalisé des dizaines de millions de dollars grâce à la vente du brevet sur le rotavirus qu'il détenait à Merck.
Le vaccin Rotavirus était insalubre depuis le début
Le premier vaccin contre le rotavirus, le Rotashield, composé de
quatre rotavirus réassortis a été approuvé en 1999, pour être retiré du
marché par la FDA neuf mois plus tard, lorsqu'il fut prouvé qu'il augmentait le risque d'une forme mortelle d'obstruction intestinale connue sous le nom d'invagination, dans un petit sous-ensemble d'enfants très vulnérables. [6]
Le Rotateq d'Offit, qui comprend 5 rétrovirus humains-bovins (oui,
c'est-à-dire OGM) était considéré comme une alternative plus sûre quand
il a été approuvé par la FDA en 2006, mais de nouvelles recherches publiées révèlent que son vaccin souffre des mêmes graves problèmes.
Une étude a été publiée tout récemment dans Vaccine,
sous le titre : Risque d'invagination après le vaccin Rota Teq :
Evaluation à partir de données de déclarations spontanées provenant du
monde entier, et utilisant une approche de cas auto-contrôlée ». L'étude
a évalué les rapports venus du monde entier et les a transmis au
fabricant du Rotateq jusqu'en mai 2014, tout en ajustant les chiffres
dus à la sous-déclaration. L'étude a révélé que le risque relatif
d'invagination associé à l'administration du vaccin Rotateq augmentait «
dans les 3 à 7 jours qui suivaient la vaccination, principalement après
la première dose, et marginalement après les deuxième et troisième
doses ». L'augmentation du risque relatif était de 3,45 fois plus élevée
au cours de la période des 3 à 7 jours qui suivaient la première dose,
relativement à la période témoin de 15 à 30 jours.
Une autre étude reliant le RotaTeq à l'invagination a été publiée
l'an dernier dans le New England Journal of Medicine et qui a trouvé
environ 1,5 cas (95% IC, 0,2 à 3,2) d'augmentation des vas
d'invagination pour 100.000 receveurs de la première dose du vaccin.
[7]
Vaccins vivants : la boîte de Pandore des virus fortuits
La mort ou le handicap par suite d'occlusion intestinale après vaccination par le Rotateq est
un effet indésirable grave qui est peu susceptible d'être négligé ou
ignoré. C'est pourquoi le VAERS (= Vaccine Adverse Effects Reporting
system), un système passif de surveillance post-commercialisation du
vaccin, a trouvé qu'il s'agissait d'un effet secondaire significatif. On
pense cependant que le VAERS n'enregistre que moins de 1% des dommages
réels causés par les vaccins, ce qui peut donner une idée de l'étendue
des dommages causés par le Rotateq, et qui représente un ordre de
grandeur supérieur à ce qui est repris dans le présent rapport.
L'exposition au Rotateq souffre donc, comme c'est le cas pour de
nombreux autres vaccins vivants, d'un côté plus accentué en ce qui
concerne ses effets secondaires. Ceux-ci peuvent mettre des
mois, des années et même des décennies à se manifester dans le nuage
multifactoriel des toxicités auxquelles est exposée la population.
Il convient également de noter que le Rotateq a été identifié comme
étant contaminé par un certain nombre de virus fortuits, c'est-à-dire de
virus qui ont contaminé les cellules vivantes et/ ou les composants
biologiques impliqués dans le processus de fabrication du vaccin
original. Ces agents clandestins, inconnus des fabricants et
des organismes de réglementation qui les ont approuvés, ont infecté les
vaccins que reçoivent les enfants. Ces virus comprennent :
- Le Circovirus Porcin 1 (PCV-1) : En 2010, la FDA a suspendu le
vaccin Rotarix en raison de la découverte qu'il était contaminé par le
virus PCV-1, un virus porcin dont les implications en ce qui concerne
l'exposition humaine sont encore inconnues. Considérée comme un risque
moindre que le PCV-2, connu pour causer une maladie débilitante chez les
porcelets, la FDA a déterminé, après examen, que le PCV-1 ne représente
pas un risque pour les millions d'enfants qui y sont exposés.
- Le Circovirus Porcin 2 (PCV-2)
: Une étude réalisée en 2014 par des chercheurs du CDC et publiée
dans Human Vaccines & Immunotherapeutcs intitulée "Detection of
PCV-2 DNA in stool samples from infants vaccinés avec RotaTeq®", a
trouvé pour la première fois que le PCV-2 est excrété dans les selles de
ceux vaccinés avec le Rotateq. Ils ont découvert qu'un total de 235
échantillons (28,5 %) provenant de 59 receveurs de vaccins étaient
positifs pour l'ADN du PCV-2 par un ou plusieurs tests utilisés dans
cette étude. De plus, "Vingt-deux des 102 receveurs de vaccins (21,6 %)
ont éliminé la souche RotaTeq® et 10 de ces vaccinés (9,8 %) ont éliminé
à la fois l'ADN du VPH et l'ARN du vaccin antirotavirus". Chez les
porcs, le PCV-2 a été associé à de graves problèmes de santé, notamment
la pneumonie associée au PCV2, l'entérite associée au PCV2,
l'insuffisance reproductrice associée au PCV2 et la dermatite porcine et
le syndrome de néphropathie (PDNS). [source]. En 2010,
la FDA a statué, contre le principe de précaution, que ni le PCV1 ni le
PCV2 ne sont connus pour infecter ou causer des maladies chez les
humains, mais que le PCV2 peut causer des maladies chez les porcs.
- L'ADN du rétrovirus de la souche endogène du babouin :
une étude de 2014 publiée dans Advances in Virology intitulée
"Screening of Viral Pathogens from Pediatric Ileal Tissue Samples after
Vaccination", a trouvé des preuves de contamination par un rétrovirus
babouin.
- Le Rétrovirus simien classe D :
une étude de 2010 publiée dans le Journal of Virology a révélé que le
vaccin Rotateq contient de l'ADN de rétrovirus simien (avec un taux de
certitude de 96 %), dont Judy Mikovits, PhD, confirme qu'il peut
contribuer à des effets néfastes sur la santé, qu'il s'agisse ou non
d'un virus qui se réplique lui-même.
Du fait que les vaccins à virus vivants sont fabriqués dans des
co-cultures de cellules et de fluides biologiques provenant de
différentes espèces, les virus ont de nombreuses possibilités
d'adaptation et de recombinaison pour produire des agents infectieux
capables d'une grande virulence. Le Rotateq n'est que l'un des nombreux
vaccins du calendrier de vaccination du CDC. Plusieurs vaccins
contiennent des virus vivants capables d'infecter ceux qui les
reçoivent, cela vaut aussi pour les rétrovirus que l'on qualifie
aujourd'hui de pestes modernes parce qu'ils sont capables d'infecter
leur hôte. Pour plus d'information, consultez le nouveau livre du Dr Judy Mikovits et de Kent Heckenlively : « Plague » ou écouter mon interview du Dr. Mikovits sur Fearless Parent Radio.
De toute évidence, étant donné les preuves révélant les effets
indésirables involontaires potentiels du vaccin Rotateq, en particulier
la possibilité qu'il infecte des personnes exposées aux virus fortuits,
la mise en œuvre du principe de précaution exige la suspension immédiate
de son utilisation jusqu'à ce que des réévaluations toxicologiques
appropriées puissent être réalisées. Toute personne qui
s'interroge sur l'innocuité du programme actuel de vaccination du CDC
devrait être en mesure d'indiquer que le Rotateq est un exemple parfait
de la raison pour laquelle le programme n'est pas basé sur des preuves,
mais plutôt sur des croyances mythologiques en la sécurité et
l'efficacité de ces produits dont on n'a jamais démontré la parfaite
innocuité.
Références :
[1] [9] Phua KB, Quak SH, Lee BW, Emmanuel SC, Goh P, Han HH, et al.
Evaluation of RIX4414, a live, attenuated rotavirus vaccine, in a
randomized, double-blind, placebo-controlled phase 2 trial involving
2464 Singaporean infants. J Infect Dis 2005;192(Suppl. 1):S6-16.
[10] Dennehy PH, Brady RC, Halperin SA, Ward RL, Alvey JC, Fischer Jr
FH, et al. Comparative evaluation of safety and immunogenicity of two
dosages of an oral live attenuated human rotavirus vaccine. Pediatr
Infect Dis J 2005;24:481-8.
[11] Payne DC, Edwards KM, Bowen MD, Keckley E, Peters J, Esona MD,
et al. Sibling transmission of vaccine-derived rotavirus (RotaTeq)
associated with rotavirus gastroenteritis. Pediatrics 2010;125:e438-41.
[12] Boom JA, Sahni LC, Payne DC, Gautam R, Lyde F,
Mijatovic-Rustempasic S, et al. Symptomatic infection and detection of
vaccine and vaccine-reassortant rotavirus strains in 5 children: a case
series. J Infect Dis 2012;206:1275-9.
[13]RiveraL,PenaLM,StainierI,GillardP,CheuvartB,SmolenovI,etal.Horizontal
transmission of a human rotavirus vaccine strain-a randomized, placebo-
controlled study in twins. Vaccine 2011;29:9508-13.
[3] Infect Genet Evol. 2012
Aug;12(6):1282-94. doi: 10.1016/j.meegid.2012.03.007. Epub 2012 Apr 2.
Vaccine-derived NSP2 segment in rotaviruses from vaccinated children
with gastroenteritis in Nicaragua. BucardoF1, Rippinger CM, Svensson L, Patton JT.
[4] Phua KB, Quak SH, Lee BW, Emmanuel SC, Goh P, Han HH, et al.
Evaluation of RIX4414, a live, attenuated rotavirus vaccine, in a
randomized, double-blind, placebo-controlled phase 2 trial involving
2464 Singaporean infants. J Infect Dis 2005;192(Suppl. 1):S6-16.
[5] Comparison of virus shedding after lived attenuated and pentavalent reassortant rotavirus vaccine.
[6] Centers for Disease Control and Prevention. Intussusception among
recipients of rotavirus vaccine-United States, 1998-1999. JAMA
1999;282:520-1 CrossRefMedlineWebof Science
Les services de santé américains estiment dans une nouvelle
étude que l’usage thérapeutique du cannabis chez les personnes âgées
réduit les prescriptions d’antalgiques et les effets secondaires.
En France, les questions de légalisation du cannabis sont en stand-by
et en ce qui concerne un éventuel usage thérapeutique, nous sommes loin
de ce qu’il se passe aux États-Unis puisque la consommation de cette
plante est tout simplement illégale dans notre pays.
Outre-Atlantique, 13 états ont pourtant autorisé la consommation de
ce type de produit et selon les statistiques, les séniors sont de plus
en plus à « planer » ! Cependant, il semble que les personnes du 3e âge
ne consomment pas vraiment du cannabis pour un usage récréatif, mais
vraisemblablement pour soulager des douleurs et/ou en guise
d’accompagnement de traitements contre le cancer.
Afin de vérifier si cet usage est efficace, une équipe du National
Institutes of Health a mené une étude, dont les résultats ont été
publiés dans l’European Journal of Internal Medicine en
mars 2018. Durant la période 2015-2017, les chercheurs ont surveillé
plus de 2 700 patients de plus de 65 ans ayant reçu des prescriptions
liées à un usage médical du cannabis.
Les résultats sont formels : 93,7 % des patients suivis ont déclaré
ressentir moins intensément leurs douleurs chroniques au bout de six
mois de consommation. Par ailleurs, l’étude a cherché à savoir si le
cannabis occasionnait chez ces patients des effets secondaires
indésirables. Moins de 10 % des patients ont déclaré avoir de légers
vertiges et des sensations d’assèchement de la bouche.
En revanche, presque tous ont affirmé avoir une vie meilleure après
avoir réduit leurs doses d’antalgiques et pour 18,1 % d’entre eux, ces
médicaments ont même complètement disparu ! L’usage de ces antalgiques
qui ne sont pas sans risques serait d’ailleurs croissant chez les
personnes âgées, si l’on en croit le rapport de l’observatoire français des médicaments antalgiques (PDF/6 pages) publié en fin d’année 2017.
Ainsi peut-être qu’à terme, les maisons de retraite deviendront de
grands nuages de fumées « vertes » avec des docteurs reconvertis en
pâtissiers passés maîtres dans la préparation des « space cakes ».
L’avenir nous le dira !
Des chercheurs découvrent comment régénérer l’ensemble de votre système immunitaire en 72 heures
1
Auteur : Nick Meyer | Editeur : Walt | Vendredi, 30 Mars 2018 - 16h22
Le système immunitaire est très complexe et n’est pas
compris par beaucoup, même nos médecins qui en dépendent pour des
conseils médicaux n’ont aucune idée de comment l’identifier.
Ces jours-ci, les gens utilisent des médicaments synthétiques et des
vitamines pour soulager leur rhume et stimuler l’immunité, mais la
maladie reste encore. Ceux qui ont un système immunitaire
dysfonctionnel, ont des options alternatives et les chercheurs ont
trouvé un moyen de réinitialiser et d’énergiser le système immunitaire;
une méthode qui est rentable et pourrait bénéficier aux personnes âgées.
Des chercheurs de l’Université de Californie du Sud disent que l’acte
de jeûner pendant 3 jours peut redémarrer l’ensemble du système
immunitaire, en particulier chez les personnes âgées. La recherche
souligne que le jeûne aide les cellules souches à produire de nouveaux
globules blancs, qui aident à éliminer l’infection. Il a également été
constaté que le jeûne pourrait bénéficier aux personnes ayant une
immunité compromise, et les patients de chimiothérapie, qui avaient
empêché les effets du traitement à jeun.
Renverser un “commutateur régénératif”
Les chercheurs ont conclu que le jeûne pendant 3 jours peut régénérer votre immunité, en particulier chez les personnes âgées.
Dans une déclaration à The Telegraph du Royaume-Uni, le professeur
Valter Longo, professeur de gérontologie et des sciences biologiques à
l’Université de Californie du Sud, dit:
«Le jeûne permet aux cellules souches d’aller de l’avant et de
commencer à proliférer et à reconstruire l’ensemble du système.» Il dit
même que le corps a essentiellement retiré les parties endommagées,
inutiles ou anciennes pendant le jeûne et construit «littéralement un
nouveau système immunitaire».
Dr Longo a également déclaré que l’immunité d’une personne réutilise
les cellules immunitaires inutiles, et celles qui sont endommagées, pour
créer de l’énergie pendant le jeûne. Au cours des essais de l’étude,
les participants devaient subir un jeûne pendant une période de six mois
et de deux à quatre jours par semaine.
Le Dr Longo dit que les essais cliniques doivent être faits, et
affirme que la recherche dans l’avenir semble «très prometteuse».
Vous pouvez lire l'étude complète (anglais) dans le journal "Cell Stem Cell" en clicant ici.
Sous pression des lobbys ? 124 médecins et professionnels de santé veulent la peau des médecines alternatives
2
Auteur : Lise Loumé | Editeur : Walt | Mardi, 20 Mars 2018 - 11h10
Dans une tribune, des médecins et des professionnels de santé ont
décidé d'alerter sur les promesses fantaisistes et l'efficacité non
prouvée des médecines dites "alternatives", comme l'homéopathie.
Des disciplines "sans aucun fondement scientifique", "nourries par
des charlatans" et "basées sur des croyances promettant une guérison
miraculeuse" : voilà comment sont qualifiées les médecines dites
"alternatives" par 124 professionnels de santé et médecins dans une
tribune publiée dans Le Figaro le
18 mars 2018. En tête des pratiques visées, l'homéopathie qui consiste à
délivrer à des doses infinitésimales une substance produisant chez une
personne saine des symptômes semblables à ceux présents chez une
personne malade, l'objectif étant d'habituer l'organisme pour
progressivement le désensibiliser.
Des pratiques "basées sur des croyances promettant une guérison miraculeuse et sans risques"
"L'homéopathie, comme les autres pratiques qualifiées de "médecines
alternatives", n'est en rien scientifique. Ces pratiques sont basées sur
des croyances promettant une guérison miraculeuse et sans risques",
avancent les signataires de la tribune qui regrettent que ces pratiques
soient "également coûteuses pour les finances publiques". Des
consultations sont ouvertes dans des hôpitaux, "aux dépens d'autres
services", ajoutent-ils. Vendus en pharmacie, les produits
homéopathiques sont partiellement remboursés.
EFFICACITÉ. Les produits
homéopathiques ne sont pas des médicaments comme les autres : ils
doivent présenter des garanties de sécurité, mais sans avoir besoin de
prouver leur efficacité. Nombre de travaux scientifiques qui se sont
succédés pour évaluer une éventuelle efficacité aboutissent à la
conclusion que l'homéopathie n'est basée que sur des "a priori conceptuels dénués de fondement scientifique" , ou encore qu'elle n'a en réalité pas "plus d'effets que le sucre". En décembre 2016, les États-Unis ont pris une décision radicale,
en imposant aux fabricants d'indiquer sur les étiquettes des
médicaments homéopathiques que leur efficacité n'est pas
scientifiquement prouvée. En France, à la même période - et donc en
pleine campagne de vaccination contre la grippe saisonnière - l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) a rappelé
De même, les signataires jugent "dangereuses" les thérapies dites "alternatives" (hypno-thérapie, naturopathie, etc.).
Dangereuses car "elles soignent l'inutile en surmédicalisant la
population", elles installent une "défiance" vis-à-vis de la
médecine "conventionnelle" et elles "retardent les
diagnostics". "L'ordre des médecins tolère des pratiques en désaccord
avec son propre Code de déontologie et les pouvoirs publics organisent,
voire participent, au financement de certaines de ces pratiques",
résument les professionnels de santé à l'origine de cette pétition, qui
demande donc "l'exclusion de ces disciplines ésotériques du champ
médical". Cela passe, selon eux, par six mesures : "ne plus autoriser à
faire état de leur titre les médecins ou professionnels de santé qui
continuent à les promouvoir", "ne plus reconnaître" ces pratiques
comme médicales, ne plus les enseigner dans les formations, ne plus les
rembourser, mieux informer sur leurs effets et enfin exiger des
professionnels de s'en écarter.
Dangereux et irréfléchi : voici John Bolton, le nouveau conseiller de Trump à la sécurité nationale
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Auteur : CJ Werleman | Editeur : Walt | Samedi, 24 Mars 2018 - 15h17
Bolton est un homme dangereux, dans une période dangereuse, au service d’un président de plus en plus dangereux.
John Bolton, ancien ambassadeur auprès des Nations Unies sous
l’administration Bush, sera le prochain conseiller à la sécurité
nationale du président américain Donald Trump en remplacement de H. R.
McMaster.
Bien que beaucoup de personnages troublants aient franchi, dans un
sens ou dans l’autre, la porte du Bureau ovale, aucun n’était aussi
effrayant et dangereux que Bolton – et j’inclus Henry Kissinger, un
homme responsable de la mort de trois millions de personnes en
Indochine, et Steve Bannon, un nationaliste blanc décomplexé.
Un cauchemar collectif
Bolton représente le cauchemar collectif de la quasi-totalité de la
communauté internationale, ou plutôt de ceux qui, à juste titre,
tremblent à l’idée que la puissance militaire américaine tombe entre de
mauvaises mains.
Car Bolton a démontré qu’il est un néoconservateur dangereux et
irréfléchi qui croit que la diplomatie devrait être remplacée par un
ultimatum : s’aligner sur les intérêts américains ou faire face aux
conséquences infligées par l’armée américaine.
Pendant la présidence de Bush, Bolton était l’homme à consulter pour
inventer et faire avaler de fausses justifications et de faux
renseignements sur ceux qui résistent ou s’opposent au projet
impérialiste américain.
Ce qui rend Bolton encore plus menaçant pour la sécurité mondiale,
c’est le fait qu’il conseillera un président qui n’a aucune politique et
rien pour limiter son pouvoir
Lorsque Bush a identifié l’Irak, l’Iran et la Corée du Nord comme
« l’axe du mal » dans son discours sur l’état de l’Union en 2002, Bolton
a affirmé qu’il existait « un lien étroit entre ces régimes – un “axe” où circulaient des armes et des technologies dangereuses. »
Une affirmation dont nous savons désormais qu’elle était manifestement fausse.
Concernant Cuba, les néoconservateurs américains ont longtemps défendu toutes les ruses imaginables – même l’utilisation de stylos empoisonneurs et de cigares qui explosent – pour renverser le gouvernement communiste à La Havane.
Bolton a élaboré un plan encore mieux, au moins dans son esprit, quand il a accusé Cuba
de mener un programme d’armes biologiques actif, une allégation
totalement fausse – et à laquelle le propre analyste en chef des armes
biologiques du Département d’État américain a refusé d’adhérer.
Le président Bush était clairement satisfait de l’art de la tromperie
de Bolton et, en 2005, celui-ci a été nommé ambassadeur américain
auprès des Nations unies. Mais c’est au cours des audiences ultérieures
du Sénat, comme l’a noté Vox, que le côté déséquilibré et démagogique de Bolton a été clairement démontré.
Le président américain de l’époque George W. Bush (à droite) serre la
main de l’ambassadeur américain aux Nations unies, John Bolton, le 4
décembre 2006, lors d’une réunion à la Maison-Blanche à Washington, D.C.
(AFP)
« M. Bolton m’a poursuivi dans les couloirs d’un hôtel russe – me
jetant des choses, glissant des lettres de menaces sous ma porte et, en
général, se comportant comme un fou », a témoigné un employé fédéral qui a travaillé aux côtés de Bolton.
« Pendant près de deux semaines, alors que j’attendais de nouvelles
directives de la part de mon entreprise et de l’Agence des États-Unis
pour le développement international, John Bolton m’a harcelé de manière
si consternante que je me suis finalement retiré dans ma chambre d’hôtel
et que j’y suis resté. Bien entendu, M. Bolton m’a rendu
quotidiennement visite, frappant à ma porte en criant des menaces ».
Erratique et agressif
Bien qu’il puisse être facile d’écarter le témoignage d’une seule
personne, cela devient plus difficile lorsqu’une demi-douzaine d’autres
parlent également du comportement erratique et agressif de Bolton envers
ses subordonnés, comme l’ont documenté Vox et le Washington Post.
Certes, Bolton n’est pas le premier à afficher un comportement
irrationnel, agressif et imprudent […], mais nous parlons du gars qui
aura la responsabilité potentielle de conseiller un individu aussi
erratique et imprudent – Trump – pour lui dire quand déployer ou pas les
armes nucléaires
Certes, Bolton n’est pas le premier à afficher un comportement
irrationnel, agressif et imprudent envers un collègue ou un employé,
mais nous parlons du gars qui aura la responsabilité potentielle de
conseiller un individu aussi erratique et imprudent – Trump – pour lui
dire quand déployer ou pas les armes nucléaires.
Le fait que Bolton entretienne ce qui a été qualifié de « relation chaleureuse »
avec une constellation de groupes haineux antimusulmans, lesquels sont
plus communément associés à tout ce qui touche à l’islamophobie, est
tout aussi préoccupant.
Par exemple, Bolton entretient des relations de travail étroites avec Pamela Geller, décrite par
le Southern Poverty Law Center (SPLC) comme « probablement l’idéologue
antimusulmans la plus connue et la plus déséquilibrée des États-Unis. »
En 2010, Bolton a soutenu un livre qu’elle a coécrit avec un autre
extrémiste antimusulmans notoire, Robert Spencer. Le SPLC disait ceci de lui :
« Spencer s’est plaint des “enclaves de la Charia” et a prédit
qu’elles s’étendront à travers l’Amérique, a qualifié Barack Obama de
“premier président musulman”, a prétendu que l’islam “exigeait de faire
la guerre aux infidèles” et a déclaré que “l’islam traditionnel n’est ni
modéré ni pacifique”. Il a même suggéré que les médias recevraient de
l’argent pour représenter les musulmans sous un jour positif. »
Un complot musulman secret ?
Le livre que Bolton a approuvé a été décrit par le magazine The Nation comme
une « série de théories conspirationnistes non fondées sur Barack Obama
et de déclarations antimusulmanes radicales » avec un passage affirmant
que le 44e président des États-Unis était un musulman infiltré :
« Obama a pris des mesures extraordinaires pour brouiller son origine
musulmane. Plus les blogueurs comme moi produisaient de preuves, plus
nous étions marginalisés. Obama était si secret qu’il a refusé de
publier son certificat de naissance, ses dossiers scolaires, sa thèse,
ses dossiers scolaires, le passeport avec lequel il voyageait à
l’adolescence… la liste elle-même était un signal d’alarme imminent ».
Dans une interview accordée en 2012 à Frank Gafney,
considéré comme l’un des pionniers de l’islamophobie aux États-Unis,
Bolton était d’accord avec l’affirmation selon laquelle le gouvernement
des États-Unis aurait été infiltré par un complot musulman secret,
insinuant qu’il fallait exiger que les responsables du gouvernement
prêtent serment pour s’assurer de leur loyauté envers les États-Unis et
non envers l’islam.
En 2010, Bolton a pris la parole lors
d’un rassemblement organisé par le groupe d’extrême-droite
anti-musulman Stop Islamization of America (SIOA), qui protestait contre
la construction d’un centre communautaire islamique à New York.
Tout cela doit amener les musulmans américains à craindre ce que
Bolton, en tant que conseiller à la sécurité nationale, doit leur avoir
inventé pour le lendemain de la prochaine attaque terroriste
catastrophique ou à grande échelle sur le sol américain, qui serait
perpétrée par un musulman; une hypothèse terrifiante étant donné que
Trump a déjà ciblé les musulmans, appelant à une interdiction des immigrants musulmans et à l’instauration de cartes d’identité pour ceux qui résident déjà ici.
Une menace pour la sécurité mondiale
Pour les populations musulmanes à l’étranger, Bolton a exprimé, dans
pas moins d’une demi-douzaine de tribunes, un désir avide de bombarder l’Iran.
« La désagréable réalité est que la seule alternative à un Iran
nucléaire est de briser le programme de Téhéran par l’utilisation ciblée
de la force militaire, par Israël ou par les États-Unis, ou par les
deux », écrivait-il dans un article pour The Guardian en 2011
Ce qui rend Bolton encore plus menaçant pour la sécurité mondiale,
c’est le fait qu’il conseillera un président qui n’a aucune politique et
rien pour limiter ses pouvoirs.
Le Congrès ignore quasiment
les propositions politiques fantaisistes et absurdes de Trump, qui sont
généralement formulées dans des tweets au hasard à 6 heures du matin
plutôt que dans des documents de stratégie, et les dirigeants du Parti
républicain ont cessé depuis longtemps d’accorder la moindre attention à
leur chef.
De plus en plus isolé et frustré, Trump est en train de renvoyer
quiconque lui a tenu tête ou s’est exprimé, selon lui, de manière
inopportune. C’est pourquoi Rex Tillerson n’est plus là, et c’est
pourquoi le prédécesseur de Bolton, McMaster, est remplacé, ce qui
signifie que Bolton peut jouer sur les pulsions et les peurs les plus
sombres de Trump.
Tout cela fait de Bolton un homme dangereux, dans une période dangereuse, au service d’un président de plus en plus dangereux.
Photo d'illustration: John Bolton, nouveau conseiller de Trump à la sécurité nationale (AFP).
Google admet collaborer au programme américain illégal d'assassinats par drones
1
Auteur : Andre Damon | Editeur : Walt | Mercredi, 21 Mars 2018 - 08h24
Dans une autre étape importante de l'intégration de la Silicon
Valley au complexe militaire et de renseignement, la société mère de
Google, Alphabet, a confirmé qu'elle avait fourni des logiciels pour
identifier les cibles utilisées dans le programme illégal d’assassinats
par drones du gouvernement américain.
Depuis le lancement de son programme d'assassinats par drones en
2009, les États-Unis affirment avoir tué près de 3.000 «combattants»
dans des frappes de drones. Les documents militaires internes montrent
que pour chaque personne ciblée par une frappe de drone, neuf passants
sont tués, ce qui signifie que le nombre de victimes de la campagne
américaine de terrorisme aérien au Yémen, en Somalie, en Afghanistan, au
Pakistan et en Irak s’élève potentiellement à des dizaines de milliers.
Selon l'American Civil Liberties Union (Association américaine pour
la défense des droits individuels), «un programme de meurtres ciblées
loin de tout champ de bataille, sans inculpation ni procès, viole la
garantie constitutionnelle d'une procédure régulière. Il viole également
le droit international, en vertu duquel la force létale peut être
utilisée en dehors des zones de conflit armé seulement en dernier
recours».
La complicité de Google avec le programme de meurtres par drones
implique la société dans les activités criminelles de l'armée
américaine, suscitant l'indignation parmi les employés après que les
cadres ont admis la collaboration dans une note interne la semaine
dernière, selon un reportage de Gizmodo.
Sensible à la fois aux ramifications juridiques potentielles de ses
actions et à l'hostilité aux guerres criminelles américaines à
l'intérieur et à l'extérieur de l'entreprise, Google a souligné dans une
déclaration que sa collaboration «est uniquement destinée à des buts
non-offensifs» expliquant que «la technologie signale des images pour
l’analyse humaine».
Mais ce prétexte absurde et peu sérieux, visant à fournir des
arguments à des médias non critiques et contrôlés par l'État, est
l'équivalent du chauffeur d’un véhicule de fuite de la mafia qui prétend
ne pas être complice du meurtre parce qu'il n'a pas appuyé sur la
gâchette.
Le gouvernement américain a revendiqué le droit d'utiliser des drones
pour assassiner des citoyens américains n'importe où dans le monde, y
compris à l'intérieur des frontières des États-Unis. En 2011,
l'administration Obama a assassiné Anwar al-Awlaki, un citoyen
américain, avec une frappe de drone Predator au Yémen, puis assassiné
son fils de 16 ans, Abdulrahman al-Awlaki, dans une autre frappe de
drone deux semaines plus tard.
Le partenariat de Google dans de telles opérations odieuses lui fait
encourir la menace non seulement de sanctions juridiques dans le monde
entier, mais aussi de graves répercussions commerciales. La décision de
l'entreprise de poursuivre cet engagement malgré ces dangers souligne le
rôle de plus en plus vital des contrats militaires dans les opérations
commerciales des géants de la technologie.
Le ministère de la Défense a dépensé au moins 7,4 milliards de
dollars en programmes d'intelligence artificielle l'année dernière et
devrait dépenser encore plus cette année, une grande partie de cette
somme étant reversée à des sociétés comme Alphabet (Google), Amazon et
Nvidia dont les programmes d’intelligence artificielle dépasseraient la
capacité interne du Pentagone.
Au cours de l'année écoulée, Google, Facebook et Twitter ont tous
annoncé des mesures pour censurer l'information que leurs services
présentent aux utilisateurs, en favorisant des organes de presse «qui
font autorité» et sont «fiables» aux dépens de ceux qui proposent des
points de vue «alternatifs» révélant et dénonçant les crimes de guerre
américains. Facebook, qui a été la plus ardente dans sa détermination à
censurer sa plate-forme, a fait savoir explicitement qu'elle s'attendait
à ce que l'engagement des utilisateurs diminue suite à son déclassement
de vidéos «virales» et sa promotion de sources d'information «fiables»,
comme le New York Times.
Comme ces entreprises s'attendent à une baisse de la demande des
consommateurs parce qu’elles imposent des mesures de censure de plus en
plus restrictives, les contrats de défense lucratifs sont un moyen
d'améliorer leurs résultats et d'aligner leurs intérêts financiers avec
les opérations de guerre et de répression de l'État américain.
Les géants de la technologie ont décidé d'imposer des mesures de
censure en même temps que le Pentagone a conclu qu'il s'est retrouvé
dans une «course aux armements en Intelligence Artificielle», comme l'a
dit le Wall Street Journalce mois-ci. Devant la montée économique rapide
de grandes puissances militaires, telles que la Russie et la Chine, qui
sont capables de développer et de mettre en œuvre de nouvelles
technologies sans le lourd désavantage logistique des innombrables
guerres, déploiements à l'étranger et opérations de déstabilisation
engagés par les États-Unis, les planificateurs militaires américains ont
tiré la conclusion que la seule façon de conserver l'avantage militaire
américain dans les conflits futurs est d'intégrer la Silicon Valley
dans la machine de guerre.
Le Pentagone a conçu la stratégie dite du «Troisième rééquilibrage»
pour vaincre la «menace cadencée» de la Chine en se concentrant sur «des
systèmes d'apprentissage autonomes, une prise de décision collaborative
homme-machine, des opérations humaines assistées, des systèmes
pilotés-autonomes de pointe», ainsi que «des armes autonomes intégrées
en réseau» comme l'a récemment décrit The Economist dans l'article de
couverture d'un numéro intitulé: «La prochaine guerre».
Cette stratégie s'articule autour du recrutement du secteur
technologique privé américain, qui reste le plus développé au monde.
Comme l'a dit The Economist, les États-Unis «continuent de dominer le
financement commercial de l’intelligence artificielle et comptent plus
d'entreprises travaillant dans ce domaine que n'importe quel autre
pays».
S'exprimant lors d'une conférence l'an dernier, le colonel Drew
Cukor, chef du «Project Maven», dans lequel Google est un collaborateur
clé, a déclaré que les États-Unis étaient en pleine «course aux
armements de l’intelligence artificielle», ajoutant: «Beaucoup d'entre
vous auront remarqué qu'Eric Schmidt appelle maintenant Google une
société d'intelligence artificielle, pas une entreprise de données».
Il a ajouté: «Il n'y a pas de "boîte noire" qui offre le système
d'intelligence artificielle dont le gouvernement a besoin... Des
éléments clés doivent être assemblés ... et la seule façon de le faire
est avec des partenaires commerciaux».
Afin de rationaliser l'échange réciproque entre la puissance de
calcul des géants de la technologie, les capacités d'intelligence
artificielle et la base de données massive de données utilisateur
sensibles et le budget pratiquement illimité de l'armée américaine, le
Pentagone a établi une série de partenariats avec la Silicon Valley. En
2015, le Pentagone a mis en place un instrument de financement
privé-public connu sous le nom de DIUx (Unité d’innovation expérimentale
de la Défense), dont le siège est situé à quelques minutes du campus
principal de Google à Mountain View, en Californie.
En 2016, le Pentagone a mis en place une entité appelée Defense
Innovation Advisory Board (Comité consultatif d’innovation du ministère
de la Défense), visant à «apporter l'innovation technologique et les
meilleures pratiques de la Silicon Valley à l'armée américaine», présidé
par nul autre que l'ancien président de Google, Eric Schmidt.
L'automne dernier, Schmidt se plaignait de la réticence de ceux qui
travaillaient dans le secteur technologique à collaborer avec le
Pentagone, déplorant le fait qu’ «il existe une inquiétude générale dans
la communauté technologique que le complexe militaro-industriel utilise
leurs produits pour tuer les gens».
Mais au-delà de l’exploitation des capacités de l'intelligence
artificielle des géants de la technologie pour guider les missiles et
sélectionner les victimes, le secret de polichinelle de la collaboration
du Pentagone avec Silicon Valley est que, dans les coulisses, de vastes
quantités de données personnelles sensibles sont probablement
transmises au Pentagone et agences de renseignement à des fins de
surveillance et de ciblage.
Comme le lieutenant-général John Shanahan, qui est étroitement
impliqué dans le Projet Maven, l’a expliqué lors d'une conférence
l'année dernière: «À l'autre bout de l'échelle, vous voyez Google. Ils
ne nous disent pas ce qu'ils ont, sauf si quelqu'un de Google veut me
chuchoter à l'oreille plus tard».
L'intégration de sociétés comme Google dans ce qui était auparavant
connu sous le nom d'appareil de renseignement et de l’armée crée un
vaste système de répression étatique jusque-là inconnu dans l'histoire
de l'humanité. La préparation pour un conflit entre grandes puissances
exige, comme le dit la stratégie de défense nationale récemment publiée
par le Pentagone, «l'intégration homogène de multiples éléments du
pouvoir national: la diplomatie, l’information, l’économie, la finance,
le renseignement, la police et l’armée».
La censure et la surveillance sont la pierre angulaire de ce nouveau
lien entre l'armée, la technologie et le renseignement. Alors que les
États-Unis se préparent à mener des guerres «chaudes» contre des armées
«de même calibre» comme la Russie et la Chine, la montée interne du
sentiment anti-guerre sera combattue par la censure de masse, aidée par
l'intelligence artificielle, accompagné de profilage politique basé sur
les messages circulant sur les médias sociaux.
Le World Socialist Web Site mène la lutte contre cette marche forcée
vers la censure et la guerre. En août 2017, nous avons publié une lettre ouverteexigeant
que Google cesse sa censure politique sur les résultats de recherche
qui ont entraîné une chute massive du trafic de recherches vers les
sites Web de gauche et anti-guerre. En janvier, le WSWS a publié
un appel pour que tous les «sites web, organisations et militants
socialistes, anti-guerre, progressistes et de gauche» se joignent à une
coalition internationale pour combattre la censure sur Internet. Nous
appelons tous les travailleurs et les jeunes qui cherchent à défendre
les droits démocratiques à contacter le WSWS et à rejoindre sa lutte pour le socialisme.
Photo d'illustration: Eric Schmidt et Ash Carter se rencontrent au
Comité consultatif d’innovation du ministère de la Défense en 2016
Auteur : Tom Luongo (Monténégro) | Editeur : Walt | Vendredi, 16 Mars 2018 - 15h53
Les évolutions de ces deux dernières semaines ont été renversantes.
Depuis que le Président russe Vladimir Poutine a dévoilé de nouveaux
systèmes d’armes apocalyptiques lors de son allocution sur l’état de
l’Union, l’Occident est devenu complètement marteau.
« Je ne trouve absolument aucun mots ordinaires pour décrire tout
ça, » comme l’a confié Sergueï Lavrov, ministre des Affaires étrangères
de Russie.
Le Royaume-Uni ayant expulsé des
diplomates russes pour l’histoire de l’empoisonnement de l’ancien agent
double Sergei Skripal et de sa fille Yulia à Salisbury la semaine
dernière, la pression visant à isoler la Russie et à créer des
conditions de guerre mondiale sont là.
Questions, qui est derrière ça et pourquoi ?
La réaction de Theresa May est de la bouffonnerie. Cette femme ne
peut tenir tête aux artistes du chantage de l’UE pour des désaccords les
plus bénins lors des pourparlers du Brexit, mais peut faire un pataquès
de tous les diables à propos d’un incident dont elle accuse sans preuve
les Russes.
En créant cet exécrable incident, cette situation sortie directement
du recueil des stratégies néocons, met le gouvernement au pied du mur de
la confrontation et de décisions politiques majeures.
Et cela se passe partout dans le monde en ce moment.
Empêcher le bouleversement
Si vous observez le hasard des associations de Skripal à la lumière
du tassement de l’affaire RussiaGate aux États-Unis, qui est derrière
ça devient évident. Comme le faisait remarquer Moon
of Alabama, Skripal a été associé avec Pablo Miller et Christopher
Steele, tous deux anciens agents du MI-6 travaillant pour Orbis Business Intelligence.
Quel motif les Russes auraient-ils de supprimer Skripal à la veille des élections présidentielles ?
Aucun. De la même manière que le gouvernement Assad aurait eu tout à
perdre en avril dernier à Khan Sheikoun, en attaquant à l’arme chimique,
la Russie n’a rien à gagner en éliminant Skripal et sa fille
aujourd’hui.
Mais, si Skripal était en mesure de corroborer ce qu’il y avait de
pire à craindre sur le Dossier, il était logique de lui régler son
compte.
Il s’agit d’une opération sous fausse bannière. C’est bien plus
plausible que les balivernes colportées au Parlement par Theresa May.
Quiconque possédant dans son cerveau trois cellules mitoyennes, sait
cela au plus profond de lui. Alors, pourquoi jouer les faussement
modestes ?
Répondez à ces questions. Où est Christopher Steele ? Pourquoi
n’a-t-il pas témoigné ? S’il refuse, pourquoi les médias ne le
harcèlent-ils pas pour qu’il réponde aux questions concernant
son Dossier [fabriqué] sur Trump ?
Posez-vous à présent la question la plus importante : Qui profite de
cela ? Pas la Russie. Personne au Royaume-Uni. Personne en Europe.
Le serpent néocon est au pied du mur
Voyez-vous, les néocons sont au pied du mur. Toutes leurs tentatives
visant à détruire la Russie et l’Iran et à prendre le contrôle de l’Asie
centrale sont réduits à néant. Une crise politique s’approche
rapidement dans l’UE. Le Royaume-Uni est toujours leur loyal sujet, mais
le centre de la Maison Blanche a le cancer : Donald Trump. Les chances
de changer le régime de Russie se seront bientôt évanouies. Dans les
faits, c’est tout de suite ou jamais.
Revoyez mes récents articles à ce sujet. Il y a un lien si vous voulez le voir et c’est assez clair.
Point numéro 1 : Trump l’emporte. Il a gagné sur les taxes. Il a gagné sur le programme d’Obama DACA.
Il a gagné dans l’affaire RussiaGate. Il a gagné sur l’ALENA et il a
obtenu les droits de douane. Il a battu Gary Cohn et Goldman-Sachs. Il a
remercié Tillerson qui a de plus en plus l’air d’une taupe néocons sans
originalité à chaque examen de son dossier. Trump rencontre la Corée du
Nord.
Ces deux hommes sont l’avant-garde de la résistance à l’empire
[bananier] mondialiste américano-européen. L’empoisonnement de Skripal a
été sciemment bâclé. Cette opération parfaitement exécutée dans son
incohérence, visait à déplacer le curseur de la frustration britannique
pour la réorienter vers l’extérieur.
Mais, cette réaction du Royaume-Uni se trame depuis des mois. Le
ministre des Affaires étrangères, Boris Johnson, a été entendu parler
des agissements russes en Syrie et en Ukraine. Dernièrement, le
secrétaire britannique à la Défense s’est époumoné à raconter que les
Russes complotent apparemment de tuer des milliers de Britanniques en
leur vendant du gaz.
Visez un peu maintenant le pathos autour de la Ghouta orientale, véritable remake d’Alep.
Ce coup-ci, au lieu de gazer réellement les gens afin de faire passer
les Russes pour des fielleux, les apparatchiks Nikki Haley et Emmanuel
Macron, le président français, agitent l’index en conseillant de ne
surtout pas faire ça [, sinon les coups de Rafales vont barder].
Pendant ce temps-là, l’armée arabe syrienne trouve un laboratoire d’armes chimiques dans un village venant juste d’être libéré.
Mais, les faits sont-ils interchangeables, Mme Haley ?
Donc, si dans les prochains jours il y a une attaque à l’arme
chimique à la Ghouta, pensez-vous que les Russes et les Syriens l’auront
faite parce que Nikki Haley a dit qu’ils le pourraient ? Cela vous
paraîtrait-il sensé d’agir ainsi alors que le monde regarde et est prêt à
bondir ?
Ou gardant votre santé mentale, vous réalisez que toute attaque
chimique est une provocation mise en scène afin d’atteindre un but
politique cynique ?
Mais Mme Haley, avocate suprême des néocons, a envoyé le bouchon un peu plus loin :
« Nous mettons aussi en garde toute nation déterminée à imposer sa
volonté par des attaques chimiques et des souffrances inhumaines, en
particulier le régime syrien hors la loi. Les États-Unis restent prêts à
agir s’il le faut, » a déclaré Haley.
La diplomate a soumis une nouvelle résolution de cessez-le-feu à
l’ONU, qui « prendra effet dès son adoption par le Conseil. Elle ne
laisse aucun vide juridique permettant à Assad, à l’Iran et aux Russes
de se cacher derrière le contre-terrorisme. »
Heureusement pour le peuple syrien, la résolution a été rejetée.
Comme d’habitude, les États-Unis ne proposent de cessez-le-feu que quand
leurs mandataires, en l’occurrence les séparatistes liés à Al-Qaïda,
sont en train de perdre. Ensuite, la perte de temps de la pause permet
de leur fournir de nouveaux équipements, de les remonter et de les
renforcer.
Depuis le déploiement dans la Ghouta orientale des forces du Tigre de
l’armée arabe syrienne, la poche de résistance a été équarrie en
plusieurs morceaux.
Et d’ailleurs, pourquoi Mme Haley soumet-elle des résolutions de
cessez-le-feu à l’ONU en bannissant le contre-terrorisme, alors que le
but déclaré de son patron Donald Trump, est de combattre les terroristes
de l’État islamique en Syrie ?
Il ne surprendra guère que Lavrov ne trouve pas ses mots.
L’armée arabe syrienne et l’armée de l’air russe n’ont pas besoin
d’armes chimiques. Dans les faits, c’est Haley et les États-Unis qui
empêchent les Russes de créer des couloirs humanitaires comme ceux qui
avaient été aménagés pendant la libération d’Alep, afin de permettre aux
civils de se tirer d’affaire.
C’est perdu en Corée du Nord, en Syrie, en Afghanistan et en Ukraine. Le soutien en faveur de l’intégration européenne se tasse.
La conclusion la plus vraisemblable que l’on puisse rationnellement
tirer de tout ce binz, c’est que le serpent néocon acculé se déchaîne
désespérément en espérant racoler le plus de monde possible.
Forte pression des néocons
Durant ces deux dernières semaines, à la veille des élections
présidentielles de ce week-end, nous avons vu plusieurs incidents dont
le but était de punir les oligarques russes et de nuire aux intérêts
commerciaux russes en Europe.
Le premier incident a été la décision folle du Tribunal d’Arbitrage
de Stockholm, qui a condamné Gazprom à verser 4,6 milliards de dollars à
l’Ukraine, parce qu’elle est dans une situation économique désastreuse.
En d’autres termes, un tribunal d’arbitrage socialiste a ordonné à ceux
qui ont les moyens de redistribuer leur argent à ceux qui sont dans le
besoin.
De plus, le FMI et l’UE veulent récupérer une partie de l’argent
qu’ils avaient injecté dans l’affaire du basket ukrainien pour soutenir
le gouvernement de Porochenko pendant une autre année.
Le second incident a été le complot qui a fait imploser la
banque ABLV de Lettonie. Après le renflouement interne des déposants à
Chypre, en 2013, cette banque est devenue l’un des principaux points
d’attache des entreprises russes qui travaillent dans l’Union
européenne.
Cette opération était en même temps une attaque contre les oligarques
russes, pour briser leur soutien envers Poutine. Avec la nouvelle liste
de sanctions établie par le département du Trésor, conformément au
projet de loi de sanctions de John McCain adopté en août dernier, les
États-Unis se sont occupés de la banque ABLV pour cause de blanchiment
d’argent et d’affaires non autorisées.
Après quelques jours de pression, les clients de la banque ont
commencé à retirer leur argent, puis la BCE s’est servi de ses pouvoirs
étendus pour prendre le contrôle de la banque, tout comme elle l’a fait
l’année dernière avec Banko Popular.
Enfin, nous avons l’irresponsable démarche britannique. Ce qu’elle
vise véritablement, c’est la possibilité des Russes à faire du business
au Royaume-Uni, dès lors que la banque ABLV a été éjectée de l’équation.
Il s’agit d’un acte de guerre hybride manifeste contre la capacité des
entreprises russes à travailler où que ce soit à l’est du fleuve
ukrainien Dneiper.
Et c’est un nouveau pas de plus sur le chemin de la guerre avec la
Russie, que les néocons s’acharnent à vouloir détruire. Je continue à
croire que Trump n’est pas dans leur camp. Les néocons veulent la guerre
pour leur propre cause. C’est pourquoi ils sapent son autorité à tout
bout de champ et montent d’un cran dès qu’ils remportent la plus
minuscule victoire.
Quand un enfant est sur un écran, il donne l’impression que rien
n’existe plus autour de lui. Mais, en fait, ce n’est pas du tout une
impression. La preuve.
Le jour où les effets des écrans seront assimilés à ceux de
la drogue, alors, soyons-en sûrs, les parents ne laisseront plus leurs
enfants passer autant de temps sur leurs smartphones, tablettes et
autres ordinateurs. D’où l’extrême importance de cette expérience à
peine croyable.
Pour promouvoir les repas en famille, une marque alimentaire a
imaginé un test aux résultats hallucinants. Dans quatre familles
différentes, tandis que les enfants étaient absorbés par leur écran, tout leur environnement a été modifié (même leurs parents) sans qu’ils ne s’en aperçoivent une seule seconde !
L’expérience Dolmo fait froid dans le dos. Elle met en lumière l’addiction des plus jeunes aux écrans. Les enfants, rivés à leurs tablettes et smartphones,
ne remarquent même plus les changements dans la pièce où ils se
trouvent. Seul le brouillage momentané d’Internet les fait revenir à la
réalité.
À l’occasion d’une enquête sur les dangers des écrans pour les enfants, France 2 est revenue sur cette caméra cachée édifiante.
Regardez la vidéo ci-dessu: Time : 3 mn 24
En moyenne, un enfant garderait les yeux fixés sur un écran pendant quatre heures et onze minutes. C’est gigantesque et cela cause de graves soucis, notamment en matière de développement. Le problème, c’est que les parents sont bien mal placés pour leur faire la leçon : en moyenne, un adulte passerait cinq heures et sept minutes sur un écran !
Cette expérience met en lumière un problème de société que les spécialistes et psychologues n’hésitent plus à qualifier d’addiction au même titre que n’importe quelle autre drogue. Selon Mandy Saligari, addictologue : « Quand
vous donnez à votre enfant une tablette ou un smartphone, en réalité
c’est comme si vous lui donniez une bouteille de vin ou un gramme de
cocaïne. ». Cette addiction conduit même à des comportements violents une fois les sujets privés de l’objet de leur attention et peut même conduire en centre de désintoxication dans les cas les plus extrêmes.
Quel sera l’impact à terme de la consommation à outrance des écrans ? Les
dirigeants d’Apple, Google, ou Twitter ont eux-mêmes interdit l’usage
des nouvelles technologies à leurs enfants par crainte des effets
néfastes sur leur développement.
Il est temps d’enrayer cette dangereuse spirale dont personne ne sait
où elle nous mène vraiment. On a donc grand besoin de ce type de
reportages et d’expériences. Ils nous ouvrent les yeux et, en cela, sont
et bienvenus et précieux…
« Où va l’argent des super-riches avant une crise ? »
2
Auteur : Charles Sannat | Editeur : Walt | Mardi, 06 Mars 2018 - 14h23
Savez-vous ce que c’est que la “smart money” ? C’est la monnaie
“intelligente”, l’argent des riches donc, par opposition à la vôtre et à
la mienne qui sont des monnaies assez stupides de sans-dents d’en bas !
Oui, ne le prenez pas mal, on ne joue pas dans la même cour. Enfin
vous et moi si, je veux dire qu’EUX, les “zinvestisseurs”
internationaux, ils ne jouent pas dans la même cour que nous.
Pour être un peu taquin, disons que quand vous vous demandez très
trivialement, calculatrice à la main et l’air inspiré de celui qui prend
son souffle pour réfléchir très fort, s’il vaut mieux placer votre
argent sur un livret A à 0,75 % ou sur un PEL à 2 %, disons que dans
tous les cas, vous êtes fondamentalement à l’abri de la richesse pour
les siècles des siècles…
Au même moment, EUX, ils déplacent des flux considérables d’argent.
Chez les petits, les plus malins essaient de savoir ce que font les gros
poissons, histoire de faire pareil.
Beaucoup diront que ce n’est pas possible de savoir, ni de faire pareil.
Si, c’est possible, dans les grandes lignes en tout cas, et il est
aussi possible de faire “presque” pareil. Je dis presque car, vous comme
moi, nous ne possédons pas de ligne de compte directe à la Banque
centrale européenne où l’on nous refile sur un coup de téléphone une
ligne d’un milliard d’euros pour aller jouer sur les marchés !!!
Mais ne baissons pas les bras pour autant ! De façon générale, et quel que soit le sujet, je ne me résigne pas.
Où va l’argent des riches avant les crises ?
Voilà la question à 100 milliards que tout le monde se pose… Enfin, si vous ne vous la posiez pas, maintenant c’est le cas !
Vous pensez que la réponse est compliquée ? Secrète ? Confidentielle ?
Qu’il faudrait faire partie du complot des Bilderberg pour savoir et
connaître la vérité ?
Oui, évidemment, cela aiderait sans doute, pourtant, avec un peu d’observation et d’analyse, on peut trouver la solution.
Souvenez-vous d’une leçon apprise lorsque j’étais jeune auprès d’un
vieux singe : “Charles, cherche toujours d’où vient le pognon, et où va
le pognon.”
Eh bien cette réponse, je l’ai, et je vais vous la partager, et elle est sans risque d’erreur.
Vous avez vu que le dollar baisse face à l’euro depuis pas mal de
temps. Illogique, nous en avions parlé, mais je ne vous avais parlé que
du paradoxe de façade qui était annonciateur de crise. Allons un peu
plus loin aujourd’hui. Quand les taux montent, normalement cela augmente
la demande de la monnaie qui a les taux les plus hauts. Logique. Je
préfère placer à 3 % aux USA plutôt qu’à 0 % en Europe !
Et pourtant, le dollar baisse !
Illogique. Non, logique, car le “smart money”, cet argent des riches,
est en train de fuir les États-Unis, donc le dollar, pour aller
s’investir… en euro à des taux zéro !
Vous allez me dire, ça y est, les riches sont devenus fous !
Eh bien non… que nenni ! Au contraire, ils se préparent à gagner encore plus d’argent.
Comment et pourquoi ?
Ils revendent leurs obligations libellées en dollar qui sont en train
de baisser car les taux montent. Quand les taux montent, les cours des
obligations qui ont un taux de rendement inférieurs aux nouveaux taux
d’intérêt diminuent d’autant car plus personne n’en veut. Logique, il y a
de nouvelles obligations qui valent plus. C’est ce que l’on appelle un
“krach” obligataire. Pour le moment, il n’y a pas krach obligataire,
mais inversion de tendance et baisse substantielle des obligations.
Elles vont perdre de 20 à 30 % par rapport aux augmentations de taux
annoncées par la FED.
Celles et ceux qui veulent creuser le sujet du krach obligataire
pourront visionner cette vidéo de “L’éco par le prof” justement
consacrée à ce thème complexe.
Si vous êtes intelligent, vous revendez vos obligations (aux
couillons d’en bas qui n’ont généralement pas de dents et qui ont comme
seule utilité de servir de contrepartie à EUX).
Du coup, vous avez plein de dollars
Ces dollars, vous n’allez pas les garder sur votre compte en banque…
Cela ne rapporterait rien (en plus il baisse, le cours). Vous allez donc
acheter des obligations dans un pays qui, lui, n’augmente pas ses taux,
et ne le fera pas avant longtemps – du coup, pas de risque de krach
obligataire. Un pays qui ne risque pas la faillite et qui a un marché
obligataire relativement profond capable d’accueillir des sommes
importantes.
Vous allez donc vendre vos obligations américaines qui n’ont pas
encore terminé leur baisse pour acheter des obligations allemandes, qui,
elles, ne sont pas près de baisser vu que les taux en Europe ne sont
pas près de monter… Surtout que l’Italie va faire des siennes. La BCE
risque donc de devoir intervenir.
Vous allez gagner sur le faible taux d’intérêt allemand, mais vous
allez surtout ne pas perdre sur la baisse américaine (-30 %) puis gagner
sur le taux de change (+20 à + 30 %) puis le taux allemand environ 1 %
par an, car il n’y a pas de petit profit.
Alors que font les riches, là, maintenant, avant la nouvelle crise ? Ils investissent en Allemagne !!
Mais ce n’est pas tout… Le retour des matières premières !!
Ils vont aussi investir massivement… dans les matières premières, et
je ne parle pas de l’or ni de l’argent mais de plein d’autres matières
premières. Ils ont d’ailleurs déjà commencé.
Des pesticides en masse dans vos fruits, en tête, le raisin
1
Auteur : JOEL COSSARDEAUX | Editeur : Walt | Mardi, 20 Févr. 2018 - 11h59
Une étude de l'ONG Générations Futures révèle des dépassements de
seuils importants dans certains fruits et légumes, en tête desquels les
cerises et les herbes fraîches.
Près de trois fruits non bio sur quatre (72,6 %) et quatre légumes
sur dix (41,1 %) présentent des traces de pesticides. C'est ce
qu'indique Générations Futures dans
une étude publiée ce mardi, à quatre jours de l'ouverture du Salon de
l'Agriculture. Ces taux procèdent de l'analyse d'échantillons réalisée
sur la période allant de 2012-2016 par la Direction générale de la
répression des fraudes (DGCCRF) dont cette ONG a compilé les données.
Au-delà de ces valeurs moyennes globales, ses experts ont pu établir le taux de pesticides présents
dans 19 fruits et 22 légumes, un exercice auquel l'administration de
Bercy n'a pas pour habitude de se livrer. Faute de moyens, la DGCCRF
n'est pas en mesure de réitérer ses analyses pour toutes les variétés
année après année. Pour contourner cet écueil et rester fiable,
Générations Futures ne s'est intéressée qu'aux variétés ayant fait
l'objet des séries complètes d'analyses.
Les féculents indemnes
En tête de son hit-parade figure le raisin, dans la catégorie fruits.
Dans 89 % des échantillons analysées par la DGCCRF, les grappes ont
révélé une teneur en pesticides. Suivent les cerises (87,7 %), les
pamplemousses/pomelos (85,7 %), les fraises (83 %), les
nectarines/pêches (82,8 %) et les oranges (80,6 %). Les moins concernées
par cette présence sont les prunes/mirabelles (34,8 %), suivies des
kiwis (27,1 %) et des avocats (23,1 %).
Dans la « catégorie légumes », en tête des « nominés » figurent les
céleris-branches (84,6 %), les herbes fraîches (74,5 %), les endives
(72,7 %) et le céleri-rave (71,7 %). A l'opposé, le maïs doux (1,9 %) et
les asperges (3,2 %), accusent les valeurs les plus faibles.
Propositions ministérielles fin mars
Ce classement n'est plus le même lorsque s'agissant du respect, ou
plutôt du non-respect, des limites fixées par l'Union européenne. Dans
la catégorie fruits, les cerises restent en tête avec 6,6 % des
échantillons affichant des teneurs en pesticides supérieures aux seuils
légaux édictés par Bruxelles.
Pour les légumes, les dépassements de valeurs sont plus fréquents.
Les herbes fraîches dépassent les limites dans 29,4 % des cas, suivies
du céleri-branche (16 %), puis des blettes (12,1 %). « Seuls les
artichauts, les betteraves, le maïs, les pois non écossés et les
potirons ne présentent aucun dépassement », résume l'étude de
Générations Futures.
Les ministères de l'Environnement, de l'Agriculture, de la Santé et
de la Recherche ont lancé une concertation pour limiter l'usage des
pesticides. Ils rendront leurs propositions fin mars au Premier Ministre , Edouard Philippe, afin de rapidement réduire l'usage des pesticides les plus préoccupants pour la santé et l'environnement.