Association des Gens du secteur Grand-Mère
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Écoutes téléphoniques: Rupert Murdoch attendu à Londres pour gérer la crise

Associated Press   9 juillet 2011 13h44 Europe
Rupert Murdoch aujourd’hui à Sun Valley dans l'Idaho (nord-ouest des États-Unis), où il participait à une conférence sur les médias.
Photo : La Presse canadienne (photo) Julie Jacobson/AP
Rupert Murdoch aujourd’hui à Sun Valley dans l'Idaho (nord-ouest des États-Unis), où il participait à une conférence sur les médias.
Londres - Le magnat australien de la presse Rupert Murdoch est attendu à Londres ce week-end, pour gérer le scandale des écoutes téléphoniques qui prend de l'ampleur et ébranle son empire médiatique, après avoir provoqué la mort du tabloïd News of the World.

Aujourd’hui, les journalistes de l'hebdomadaire à sensation en préparaient la dernière édition, qui sera dans les kiosques dimanche avant de fermer, après 168 années d'existence. Les révélations sur les pratiques du News of the World, dont des journalistes auraient payé des policiers pour leurs informations et piraté des messageries téléphoniques, notamment de jeunes victimes de meurtre ou de proches de soldats morts en Afghanistan, ont choqué les Britanniques.

Le scandale ébranle News Corp., l'empire médiatique de Rupert Murdoch. Celui-ci, explique-t-on de source proche du dossier, est attendu dimanche à Londres, à l'occasion d'un déplacement prévu.


Cette affaire embarrasse également le Premier ministre britannique David Cameron dont l'ancien directeur de la communication et ex-rédacteur en chef de News of the World, Andy Coulson, a été entendu pendant neuf heures vendredi par la police. Soupçonné de participation à des «écoutes téléphoniques illégales», M. Coulson, 43 ans, a été relâché vendredi sans faire de commentaires.


Soucieux de prendre ses distances, David Cameron a annoncé la nomination d'un juge chargé de mener une enquête de fond sur les dérapages du tabloïd et de présenter des propositions pour la régulation de la presse. Il a jugé nécessaire de mettre en place une nouvelle autorité indépendante des médias et du gouvernement.


Aujourd’hui, le responsable de la culture au sein du Parti travailliste, Ivan Lewis, a écrit à M. Cameron pour réclamer des discussions bipartites sur cette affaire et la désignation immédiate d'un juge pour suivre le dossier.


Il a mis en avance l'urgence, et ce alors que selon certaines informations de presse, des millions de courriels des archives internes de News International auraient été détruits, ce qui pourrait constituer une tentative de mettre des bâtons dans les roues aux enquêteurs de Scotland Yard.


News of the World a avoué par le passé avoir piraté les messageries téléphoniques d'employés de la famille royale, d'hommes politiques et de célébrités, s'en tirant en indemnisant à l'amiable certaines de ses victimes, comme l'actrice Sienna Miller.


Mais les dernières révélations selon lesquelles News of the World aurait aussi espionné de jeunes victimes de meurtre et des proches de soldats tués en Afghanistan ou de victimes des attentats de 2005 à Londres ont horrifié les Britanniques. Certains de ses journalistes auraient payé des policiers pour obtenir des informations. Ces accusations ont constitué le scandale de trop et ont même fait fuir en masse les annonceurs publicitaires.


Jeudi, James Murdoch, qui dirige News International, branche européenne du groupe News Corp. appartenant à son père Rupert, annonçait ainsi la fin de la parution du journal, vendu chaque semaine à près de trois millions d'exemplaires.


Discret depuis les nouveaux rebondissements, Rupert Murdoch s'est brièvement exprimé devant les journalistes aujourd’hui à Sun Valley dans l'Idaho (nord-ouest des États-Unis), où il participait à une conférence sur les médias. Invité à préciser qui avait décidé de fermer News of the World, il a simplement répondu: «C'était une décision collective».
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Pierre Brouillette Fiduciaire
 
Je ne compte plus a combien d'entreprises ,
 
que j'ai conseillé de ne pas honorer une facture de Industry + Commerce.

Mais plutôt de faire une plainte soit au petite créance ou autre .

La fraude c'est payant , cette compagnie a eu une amende de 300,000 Euros.
 
et on continue encore.

Maintenant La facture s'en ai mêlé.

Voici liens intéressants:

European City Guide


La Facture


Autre Liens Intéressants a venir:
 
 
Pierre Brouillette Fiduciaire
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Vous en connaissez d'autres:  voici l'adresse courriel.
 
 
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Publié le 04 juin 2011 à 00h00 | Mis à jour le 04 juin 2011 à 09h04

Piégés par des demoiselles sexys


 


Nancy Massicotte
Le Nouvelliste

(Trois-Rivières) Une quinzaine d'hommes de Trois-Rivières ont été victimes d'une tentative d'extorsion sur le web au cours de la dernière semaine après avoir rencontré de jolies inconnues sur un réseau social.

Ces individus qui sont âgés entre 20 et 50 ans ont en effet été piégés par des demoiselles sexys qui avaient accepté de se déshabiller pour eux en direct devant une webcam.

Selon ce qu'il a été possible d'apprendre, ces arnaqueuses, qui jouent la carte de la séduction, se lient tout d'abord d'amitié avec les hommes sur un réseau social. Une fois le contact établi, les échanges se poursuivent sur MSN notamment. Disposant de webcams, les femmes n'hésitent pas à se déshabiller pour aguicher davantage les hommes.

Le hic est qu'en retour, elles demandent aux hommes de faire la même chose, tout en s'assurant que la webcam filme leur visage. Naïvement, certains ont non seulement accepté de s'exhiber mais ils se seraient même livrés à des gestes de masturbation. Une fois la scène filmée, les arnaqueuses  s'empressent de leur réclamer une somme d'argent (environ 500 $) en échange de leur silence. Si les victimes refusent, elles menacent de diffuser sur le web la vidéo compromettante avec les conséquences que cela peut supposer.  

Certains hommes auraient refusé de se faire arnaquer, préférant porter plainte à la Sécurité publique de Trois-Rivières. D'autres auraient payé. L'enquête a été confiée à la division des enquêtes régionales de la Sûreté  du Québec. Il est possible que les femmes en question fassent partie d'un réseau établi en Afrique.

La SQ désire d'ailleurs mettre en garde jeunes et moins jeunes sur les dangers reliés à la cybercriminalité. Voici quelques conseils de sécurité à ce sujet: il importe de ne laisser personne nous convaincre de faire quoi que ce soit qui nous met mal à l'aise, car ce ne sont pas eux qui devront en subir les conséquences. Dans la mesure du possible, il faut repérer l'adresse IP et porter plainte à la Sûreté du Québec ou au service de police municipal.

L'Internet offre en effet des possibilités immenses, mais il n'est pas sans danger. Il importe d'exercer un contrôle sur les photographies envoyées via Internet et de se méfier de l'usage de webcams, d'appareil de photos numériques et de téléphones cellulaires, surtout quand il est question de nudité.